Les services de la Dreal se rendent à Tarare ce mercredi pour procéder à un contrôle de deux teintureries qui pourraient être à l'origine du rejet de fumée blanches observées depuis une semaine.
L'inspecteur référent de la Direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (Dreal) se rend à Tarare ce mercredi pour inspecter trois sites des deux teintureries de la commune. Depuis maintenant une semaine, des habitants et des membres de l'équipe municipale de la ville ont observé une fumée blanche dans le ciel de la commune, émanant des différents sites industriels.
"Les conditions météorologiques particulières pourraient expliquer les fumées perçues"
Un phénomène nouveau dégageant "une odeur prononcée, âcre", explique-t-on du côté de la municipalité, tout en précisant que le phénomène est "très localisé". "Les deux exploitants ont été contactés et indiquent que leurs activités
sont en fonctionnement normal. Les conditions météorologiques particulières pourraient expliquer les fumées perçues", précisent de leur côté les services de l'Etat.
La Dreal demandera ainsi aux deux industriels de faire réaliser "dans de très brefs délais, par des laboratoires agréés, une mesure des rejets atmosphériques".
Lire aussi : Vapeur ou fumée blanche dans le ciel de Tarare, des réponses attendues
A Savoir : La fumée blanche est réservée au Vatican!!
Ha ? Ce n'est pas votre cerveau qui fume dès qu'on lui demande des arguments ? 😀
digne de Math Supp.
Maternelle supérieure
Vous avez fait sauter les cours d'humour ? (même ceux d'humour pas drôle ? 😀 )
Voilà toute la corruption du monde monétaire et plus précisément celui organisé par LREM avec ses lois pro-industriels :
c'est aux industriels de faire les prélèvements et les tests en labo et non à un organisme public indépendant de le faire.
Indécrottable.
Ce sont les industriels qui payent le laboratoire agréé en charge de mesurer les rejets.
Le laboratoire peut être désigné par la DREAL
Pour votre information, la plupart des mesures se font in situ en direct.
Quelques composés sont mesurés en laboratoire sur des échantillons prélevés par le laboratoire agréé.
A aucun moment ce sont les industriels qui pratiquent les prélèvements où les mesures in situ.
Effectivement c'est bien la règle qui s'applique dans de telles situations depuis des décennies.
Par ailleurs les lois ne sont pas normatives comme vous le laissez entendre.
Dans le cas d'espèce, ce sont des arrêtés ministériels qui fixent les seuils de concentrations des rejets.
Bref les "lois pro-industriels" du monde monétaire organisé par LREM ne sont pas concernées.
le laboratoire "peut être" désigné... (aucune obligation)
les mesures ne sont pas permanentes, aucune loi ne les y oblige.
les industriels prélèvent ce qu'ils veulent quand ils veulent. Aucune loi ne les y interdit.
Les seuils sont fixés par l'Etat pour ne pas gêner trop le commerce des industriels (voir réglementation actuelle pour les PFAS, totalement floue avec autorisation préfectorale de déverser des produits que l'on sait nocifs.)
Tout est organisé par LREM et les précédents pour ne pas gêner "l'industrie".
Y compris la loi des affaires derrières laquelle ils se réfugient pour ne pas communiquer.