“Nos impôts payent leurs folies.” Les subventions “à coups de dizaines de milliers d’euros de la Ville et de la Région” au bénéfice de la Gay Pride de Lyon ne passent pas pour Bruno Gollnisch, conseiller régional et vice-président du Front national, qui a pris la plume.
“La plaquette de présentation de l’événement annonçait la couleur : publicité pour le magazine Prends-moi (sic !), revendication de la fierté assumée pour la domination, la soumission et le sado-masochisme juste sous la signature du président de la région, Jean-Jack Queyranne, etc. On n’a pas été déçu du reste !” détaille Bruno Gollnisch, qui n'arrête pas son char ici. Selon lui, la participation de “toute la gauche régionale” à la Gay Pride, qui avait pour mot d'ordre la PMA, prouve que “l’idée est plus avancée que ce que le Gouvernement veut nous faire croire”. Revenant sur le défilé, il affirme que ce “communautarisme gay revendique, sous prétexte d’“égalité”, une véritable supériorité”.