L'assignation du président d'OL Groupe contre le patron de GL Events, autour de la reprise du stade de Gerland, est bien maintenue au tribunal de commerce. Mais les deux parties discutent.
Le président d'OL Groupe, Jean-Michel Aulas, conformément à ce qu'il nous confiait en juin, a déposé une assignation contre Olivier Ginon, patron de GL Events, lui reprochant d'avoir eu "connaissance d'informations confidentielles et [de les avoir utilisées] dans un cadre concurrentiel", dans le dossier de reprise du stade de Gerland par GL Events, actionnaire majoritaire du club de rugby du LOU. En effet, Olivier Ginon, en tant que membre du conseil d'administration de l'Olympique Lyonnais, a eu accès à certaines informations sur le modèle économique du Parc OL. Et Jean-Michel Aulas a vu d'un mauvais oeil qu'il lance un projet mêlant sport et événementiel à Gerland, qui concurrencera forcément son stade de Décines.
Selon Acteurs de l'économie, le tribunal de commerce a procédé vendredi à l'ouverture de la procédure de mise en état de l'affaire, sans encore proposer de médiation. La procédure suite son cours, donc, alors qu'un accord entre Aulas et Ginon semblait sur les rails la semaine dernière. Devant le tribunal, Jean-Michel Aulas réclame 30 millions d'euros de réparation.
Toutefois, les discussions entre les deux parties ne sont pas rompues, confirme Le Progrès. Il est donc probable que le dossier trouve une issue avant l'intervention d'un juge.
DEUX GUIGNOLS ces deux là le premier vit se s'enrichit directement sur la laine des contribuables'Gerland, on ne peut en faire disait il' ah bon ? alors c'est sûr que quand quelqu'un valorise ce stade, ça le met dans tous ses états pour casser l'herbe sous le pied de celui qui prouve le contraireAulas veut faire ses prix au plus haut, et sans concurrence - vous savez ce que ça veut dire ! ça veut dire ENTENTE et une entente est punissable par la règlementation Les spectateurs en tant de contribuables devront déjà supporter 300.000.000 d'euros de frais 'dédiés' au Dieu Olas, et en plus on les assomme en billetterie, sans concurrence