Ce comité de relance aura pour objectif “d’imaginer la Métropole à moyen et long terme d’une part, et produire des mesures concrètes et opérationnelles à court terme d’autre part”, pour préparer l’après crise du coronavirus et l’après confinement.
David Kimelfeld, le président de la métropole de Lyon a annoncé le 10 avril dernier la création d’un comité métropolitain de relance (CMR) pour “préparer la nécessaire relance de l’activité économique et de la vie sociale sur le territoire”. Ce comité se réunira pour la première fois le mercredi 6 mai prochain. Ce CMR sera composé d’une soixantaine de personnes, une moitié d’élus et une autre de représentants de la société civile, dont les noms seront dévoilés prochainement.
“Il aura deux objets : imaginer la Métropole à moyen et long terme d’une part, et produire des mesures concrètes et opérationnelles à court terme d’autre part”, indique le Grand Lyon dans un communiqué. Et d’ajouter : “Les membres du CMR pourront fixer les objectifs, la méthode et le calendrier lors de la première réunion de travail qui aura lieu le mercredi 6 mai. À la suite de cette installation, de nombreux acteurs engagés dans le développement de nos territoires seront auditionnés. Entrepreneurs, partenaires sociaux, responsables associatifs, administrations publiques, personnalités du monde de la recherche, de l’enseignement, de l’environnement, de la solidarité, de la vie associative, du sport, de la culture pourront exprimer leurs points de vue et propositions concrètes sur la manière dont ils envisagent la Métropole de demain”.
Ce projet sera également ouvert aux citoyens par le biais de contributions. Les propositions issues de ce comité de relance seront soumises par la suite au vote du conseil métropolitain.
Et vu que ça concerne tout le monde, est-ce qu'il y aura une diffusion télé ou internet de ces rencontres avec "le comité" ?
Parce que ça parle tout le temps de "démocratie" en se plaignant que les citoyens ne s'y intéressent plus, ça parle de faire participer tout le monde, mais la transparence de la vie publique exigerait une diffusion...
🙂