Transformé en centre d’hébergement pour les réfugiés ukrainiens, le gymnase Bellecombe, situé dans le 6e arrondissement de Lyon, rouvre ses portes au public ce mardi 7 juin. En parallèle, la Ville de Lyon a ouvert un nouveau lieu d’accueil des réfugiés dans le 9e arrondissement.
Depuis le début du conflit en Ukraine, le gymnase Bellecombe, situé dans le 6e arrondissement de Lyon, a été aménagé en centre d’hébergement pour les réfugiés venant des territoires confrontés à l’invasion. En près de trois mois, 7080 nuitées ont déjà été enregistrées sur place et plus de 150 agents de Lyon sont mobilisés. "Dès les premiers jours de l’invasion, la Ville de Lyon a été très fortement sollicitée, à la fois par des personnes inquiètes pour leurs proches en Ukraine et par d’autres désireuses d’apporter leur aide", explique Sylvie Tomic, déléguée à l'accueil et à l'hospitalité de la Ville de Lyon. Selon elle, la municipalité s'est tout de suite mobilisée.
Il fallait "apporter des réponses dans l’urgence et amorcer une coordination des actions qui s’est ensuite pérennisée sous l’égide de la Préfecture. Je remercie vivement l’ensemble des agentes et agents qui se sont impliqués, avec dévouement et professionnalisme, et qui continuent de le faire pour assurer un accueil digne aux personnes exilées d’Ukraine", se réjouit l'adjointe au Maire de Lyon.
« Dès les premiers jours de l’invasion, la Ville de Lyon a été très fortement sollicitée, à la fois par des personnes inquiètes pour leurs proches en Ukraine et par d’autres désireuses d’apporter leur aide »,
souligne Sylvie TOMIC, adjointe au Maire de Lyon déléguée à l’accueil et l’hospitalité.
Un nouveau lieu d’hébergement dans le 9e
À noter que les personnes en transit ou en attente de logements à Lyon ou dans la Métropole sont désormais accueillis dans un nouveau centre d'hébergement d'urgence, situé dans le 9e arrondissement de Lyon.
L'Ukraine, c'est l'autre nous même de l'Europe. Pas de contentieux historique, culturel, religieux, économique avec ce peuple. Plus de 3 millions de vrais réfugié.es de guerre, il va falloir faire de la place pour eux. Vu l'état dans lequel l'Ukraine va se trouver, nombre de ces femmes et enfants ne vont pas y retourner avant longtemps.. peut-être jamais. Population fragilisée et vulnérable. Quand aux hommes de 18/60 ans, restés au pays pour combattre : pères, maris, frères, amis, amants.. ? Les anciens pays socialo -communistes sont devenus les nouveaux fascistes : Russie, Chine, Corée nord, Syrie, Afghanistan, Venezuela + les républiques populaires démocratiques !