Les deux militantes ayant jeté de la soupe sur un tableau de Monet au musée des Beaux-Arts de Lyon ont été relaxées ce mardi.
Le 10 février, deux étudiantes et activistes avaient jeté de la soupe sur un tableau de Claude Monet au sein du musée des Beaux-Arts de Lyon. A travers ce geste, elles entendaient "alerter sur la crise climatique". Une vidéo de leur action avait été publiée sur les réseaux sociaux. Le 22 mai, les deux jeunes femmes étaient jugées à Lyon et le procureur avait requis à leur encontre deux mois de prison avec sursis.
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Elles ont été relaxées ce mardi par le tribunal, au motif que les éléments de l'infraction n'étaient "pas établis", rapportent nos confrères de Tribune de Lyon. Les deux étudiantes de 23 et 20 ans, activistes de Riposte alimentaire, comparaissaient pour "dégradation de biens culturels". Le cadre du tableau, Le Printemps, avait été endommagé par la soupe tandis que le tableau avait été protégé par son caisson.
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Sans demander de la prison ferme pour ces deux naives pionnes de leur idéologie, la relaxation est incompréhensible. Meme pas de travaux d'interet général?
Et le coût de la restauration du cadre ? Il reste donc à la charge des contribuables ! Pour parfaire il faudrait peut être leur attribuer la médaille 🏅 de la ville...
1 - ça n'a pas changé quoi que ce soit de faire ce genre de manifestation.
2 - le jugement du tribunal n'a fait qu'appliquer la loi.
3 - Encore un problème de fric donc, avec le qui va payer ? 😀
Pendant ce temps, l'usage de monnaie fabrique et entretient la misère chaque jour, par l'exclusion par les prix.
Soupers écologistes! Le Vinci à Paris, Le Monet à Lyon, le Courbet à Metz n'ont pas été arrosés innocemment. En effet ces tableaux sont protégés par un verre, ce qui réduit l'impact de l'agression et aussi la peine encourue. Liebig, Knorr et Vermicel, rebelles mais pas trop! Le khmer de Lyon a choisi de payer les frais de nettoyage à la charge des contribuables..