La Métropole verte de Lyon se questionne sur l’opportunité de conserver la marque nationale de Cité internationale de la gastronomie.
"Cité de la gastronomie". Le nom a été donné par la Mission française du patrimoine et des cultures alimentaires, l’organisme qui a porté le dossier de candidature de la France pour l’inscription – obtenue fin 2010 – par l’Unesco du "repas gastronomique des Français”"sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
Les cités, équipements culturels vivants, ont été définies comme des "lieux de culture entièrement et pleinement consacrés aux patrimoines alimentaires" répondant aux engagements qui découlent de l’inscription onusienne.
En plein chantier d’élaboration d’un nouveau projet pour la Cité de Lyon, une agence de communication accompagne la Métropole de Lyon afin de revisiter l’architecture même de la marque.
Lire : Un nouveau projet de Cité internationale de la gastronomie de Lyon à petits bouillons
Jérémy Camus, vice-président de la Métropole de Lyon en charge de l’agriculture, de l’alimentation et de la résilience du territoire, envisage même de changer le nom "Cité internationale de la gastronomie". "Nous ne nous l’interdisons pas. Nous y réfléchirons en fonction de la nature des projets qui se dessineront pour ce site ces prochains mois", concède-t-il à Lyon Capitale.
Vers une "Maison de l’alimentation" (comme le très probable nom des satellites de la Cité de la gastronomie en périphérie de Lyon) ?
Vers une "Maison de l’alimentation" (comme le très probable nom des satellites de la Cité de la gastronomie en périphérie de Lyon) ?
Après la fin du projet lyonnais, qu'en est-il des autres : Beaune, Dijon, Rungis ?