La qualité de l'air est mauvaise à Lyon ce mardi 1er mars.
"Lundi 28 février, les particules fines ont tendance à prendre le pas sur l’ozone, avec pour conséquence une qualité de l’air dégradée sur des zones plutôt urbanisées comme Lyon, Clermont-Ferrand et Saint-Etienne", expliquait lundi le laboratoire Atmo-Auvergne-Rhône-Alpes, spécialiste de la qualité de l'air dans la région.
Pas d'amélioration ce mardi, avec une qualité de l'air estimée mauvaise à Lyon ce 1er mars. "Mercredi 2 mars, la qualité de l’air devrait s’améliorer en raison de conditions météorologiques plus perturbées qui devraient être favorables à la dispersion des polluants atmosphériques. La qualité de l’air devrait être globalement moyenne", poursuit le laboratoire. Amélioration donc en vue à partir de mercredi.
"Depuis 10 ans, la qualité de l'air s'est largement améliorée à Lyon"
"Depuis une dizaine d'années, la qualité de l'air s'est largement améliorée dans l'ensemble de la région Auvergne-Rhône-Alpes, y compris à Lyon. Au niveau des oxydes d'azote et des poussières, nous sommes arrivés à réduire ces deux polluants qui sont les polluants principaux en hiver". "Le dioxyde d'azote (essentiellement émis par les véhicules) a été réduit ces dernières années de l'ordre de 45 %, cette réduction est liée en partie au changement des motorisations automobiles", nous expliquait Marine Latham, directrice générale d'Atmo-Auvergne-Rhône-Alpes, invitée de la quotidienne de Lyon Cap', 6 minutes chrono, le 2 février dernier.
Lire aussi : Qualité de l'air à Lyon : comment est évaluée la pollution ? Décryptage de Lyon Cap'
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POUR ALLER PLUS LOIN
Marine Latham, la directrice générale d'Atmo-Auvergne-Rhône-Alpes, était l'invitée de la quotidienne de Lyon Capitale, 6 minutes chrono, le mercredi 2 février. Elle explique le rôle essentiel joué par Atmo dans la surveillance de la qualité de l'air à Lyon et dans la région.
il semblerait que la politique d'interdiction de la voiture menée depuis 2 ans, les restrictions des voies de circulation faisant que les véhicules polluent sans rouler, que les voies de transports en commun sont vides faute de service, que les difficultés de se garer imposant de tourner toujours plus en raison des plots, des trottoirs, des places de trottinettes, de deux roues qui se font voler, de conversion de places en talons en places en créneau, les terrasses inutilisées et vides réduisant donc l'impossibilité de trouver des places ... il semblerait donc que cette politique non seulement rend le quotidien des administrés toujours plus insupportable engendrant l'agressivité mais n'ait pas en plus les effets escomptés sur la qualité de l'air ! chercher l'erreur ? quand on est en échec à ce point on se pose des questions c'est ce qu'on appelle le suivi et l'analyse d'indicateurs dans une démarche qualité ... encore ne faut il pas avoir comme dogme l'écologie punitive et ne pas être incapable de se poser les questions et de se remettre en cause ! On ose imaginer ce qui va se passer les prochaines années avec le projet rive droite du Rhône une catastrophe annoncée à venir ....