La direction du service qui gère les TER va s’installer en 2016 dans la nouvelle tour Incity. La SNCF a sorti ses meilleurs arguments pour convaincre les 500 employés concernés de venir s’installer à Lyon.
En 2016, le Direction générale régions et intercités de la SNCF, qui gère les TER, va découvrir ses nouveaux bureaux au sommet de la Part-Dieu. La tour Incity, qui doit être finalisée fin 2015, accueillera ainsi 500 postes délocalisés de Paris.
Le journal "Les Echos" rapporte mardi 19 mai que la SNCF a dû se livrer à une opération séduction auprès de ses employés pour les convaincre de quitter la capitale. Depuis 2013, au travers d’un forum, l’offre à Lyon en matière de logement, d’école, d’emploi, de loisir et de culture a été présentée aux salariés concernés. L’Aderly, l’agence lyonnaise qui promeut l’implantation en région lyonnaise auprès des entreprises, a été de la partie en co-organisant l’évènement.
Une aide à la recherche de logement
La SNCF a ensuite accompagné les employés en leur proposant un week-end sur Lyon pour découvrir la ville. Une aide à la recherche d’un logement, d’une école pour les enfants et d’un emploi pour le ou la conjoint-e est aussi assurée. L’entreprise de chemins de fer va aussi organiser des portes ouvertes en juin pour présenter les locaux lyonnais aux futurs mutés.
Ce transfert ne va pas se faire sans une division des équipes qu’il va falloir prendre en compte. Toujours selon "Les Echos", la SNCF a d’ores-et-déjà prévu une série d’outils techniques pour connecter les chefs restés à Paris et leurs subordonnés lyonnais : vidéo-conférence et partage en ligne de documents vont devenir la norme dans cette entreprise désormais bicéphale.
Drôle d’idée de s’implanter à Lyon alors que d’autres belles villes de la région sont bien moins surchargées en habitants. Mais il est vrai que partir de Paris reste une bonne idée. Pourquoi ne pas plutôt s’implanter dans la préfecture d’un autre département ? Saint-Étienne, par exemple, où les prix sont peu élevés et qui a bien perdu en habitants. Ou alors Bourg en Bresse, qui reste dans un département limitrophe.Cette concentration, toujours aux mêmes endroits pose de difficiles problèmes d’aménagements.
Et pourquoi pas à LA SOUTERRAINE, près de Limoges ? C'est bien LA SOUTERRAINE... sa connexion aux réseaux ferrés européen, sa vie culturelle de niveau international, son Grand Frais avec son rayon poisson alors qu'on n'est même pas près de la Mer ... Bluffant.
POUR LES RAPIDES, LES DISPONIBLES, C'EST LE BON MOMENT ! LE PETIT PRINCE