UGC avait déjà été débouté l'an dernier, dans sa première tentative d'ébranler les nouveaux propriétaires du Comoedia. Le cinéma, ouvert en 1924 sous ce nom mythique, a en effet été la propriété du groupe de 1993 à 2003, baptisée pendant cette période UGC-Comoedia. Le géant a donc considéré que le nom lui appartenait, avant d'être remis à sa place par le tribunal de Grande Instance.
Voir aussi 'Comoedia-UGC, la guerre des cinés'