Les réactions d'élus, à Lyon et dans la Métropole, sont unanimes après qu'un homme, à Tain-l'Hermitage dans la Drôme, ait giflé le président de la République, Emmanuel Macron.
Emmanuel Macron, le président de la République, a été giflé ce mardi lors d'un déplacement dans la Drôme (voir ici). Selon la Préfecture de la Drôme, deux personnes ont été interpellées.
Les élus lyonnais, en nombre, ont réagi sur les réseaux sociaux. De tous bords politiques. Presque unanimement. "Aucune forme de violence n'est acceptable. Notre démocratie exige sérénité et confiance. Tout mon soutien au Président de la République", a souligné le maire EELV de Lyon, Grégory Doucet. "Les menaces et agressions des élus de notre République est inacceptable. La multiplication de ces faits est inquiétante et dangereuse pour notre démocratie. Le débat politique mérite respect et sérénité", a de son côté réagi Bruno Bernard, le président EELV de la Métropole de Lyon.
"Je suis terriblement choquée par l'agression subie par notre président"
Marylène Millet, maire de Saint-Genis-Laval
"Geste intolérable. On ne peut pas accepter que s'installent la violence et l'absence de respect dans notre pays", a twitté le président LR de la région Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez. "L’ agression dont le président de la République a été victime est inacceptable. La violence ne doit jamais être banalisée", explique de son côté le maire PS de Villeurbanne, Cédric Van Styvendael."Je suis terriblement choquée par l'agression subie par notre Président. Pas envie de partager ces images...Rien ne justifie la violence contre un élu", estime pour sa part la maire UDI de Saint-Genis-Laval, Marylène Millet.
"Soutien républicain au Président de la République, giflé ce jour dans la Drôme. A force de banaliser l'extrême droite, l'extrême droite révèle la violence dont elle capable. Faisons face aux menaces qui pèsent sur notre démocratie", estime la candidate écologiste aux régionales, Fabienne Grébert (EELV). "Cette image du Président de la République giflé fait froid dans le dos. De grâce ressaisissons-nous. Retrouvons le goût du respect. Des institutions comme des hommes et femmes. La dignité dans nos débats. La quête de concorde. Pensons au monde que nous laissons à nos enfants", souligne pour sa part la tête de liste PS aux régionales dans la région, Najat Vallaud-Belkacem.
Après la peur de sa vie au Puy en Velay (43), le voila alpagué à Tain l'Hermitage (26).
La région ne lui convient vraiment pas !
C'est surtout l'occasion d'une grosse rigolade !
Le royalisme ce n'est pas l'extrême-droite. Quelle inculture politique de la part des politiques !
La République 232 ans, La Royauté 1000 ans. The winner is ?