Initialement prévus le 4 septembre, les travaux de rénovation du tunnel du Mont Blanc débuteront finalement le 16 octobre. Ils se termineront le 18 décembre prochain.
L’axe majeur entre la France et l’Italie sera fermé du 16 octobre au 18 décembre prochain pour des travaux de maintenance. Initialement prévus pour le 4 septembre, les travaux avaient dû être repoussés suite à un important éboulement survenu le 27 août dans la vallée de la Maurienne. L’incident avait conduit à la fermeture du tunnel de Fréjus, rendant impossible le début des travaux par peur d’un engorgement.
Des travaux scindés en deux parties
Suite à des consultations au niveau régional et gouvernemental, le GEIE-TMB annonce dans un communiqué, relayé par l’AFP, qu'une première phase de travaux nécessite la fermeture du site "durant neuf semaines." Ces travaux consisteront notamment au "remplacement d’éléments de dalle dans la portion centrale du tunnel" et au "changement d’accélérateurs (ventilateurs) sur la voûte." La suite des travaux est reportée à 2024. Il s’agira notamment d’un "chantier-test de rénovation de la voûte", indique le gestionnaire.
Par ailleurs, le gestionnaire du tunnel du Mont-Blanc "estime qu’environ 90% des poids lourds se dirigeront" vers le tunnel de Fréjus durant les travaux.
Et les braves alter casseurs veulent bloquer la construction du tunnel ferroviaire trans alpin !
Les casseurs ?
Non, les écologistes veulent du ferroutage dans toutes la région, mais LR et RN au pouvoir n'en veulent pas.
D'autre part, il est possible déjà de mettre des camions sur les trains et dans les tunnels existants, mais là encore, le fric fait que c'est plus avantageux de prendre la route, donc, rien ne se passe, depuis des décennies.
"les écologistes" ! Lesquels dans cette constellation !
Lyon Capitale rappel de juin : .. Dans le cortège, une union de la gauche rassemblée autour de sa frange radicale. La tenue du rassemblement avait été signée par cinquante-six organisations syndicales et politiques, dont des filières locales de La France insoumise mais aussi du parti socialiste, des syndicats anarchistes, le groupe Antifa de Lyon, l’autoproclamé “média alternatif” Lyon Insurrection (qui appelle régulièrement à “chercher la bourgeoisie” parce que “Lyon (est) aux sauvages”) ou encore les activistes écologistes d’Extinction Rébellion, adeptes du vandalisme..