La confession de Jérôme Cahuzac le 16 avril sur BFM TV sent la “com” à plein nez.
L’ancien ministre dit peut-être la vérité, mais les phrases ciselées, les mots choisis, les postures étudiées laissent transparaître une intense préparation et l’opération de communication.
La presse dans son ensemble ne s’y trompe pas, dénonçant les artifices et renvoyant à la “confession” de Strauss-Kahn sur TF1.
Il faut être un excellent acteur pour jouer la sincérité.
Il existe aussi une autre solution : au lieu de s’afficher sur les écrans, utiliser l’écrit. C’est plus modeste, plus approprié à la contrition, et suffisant.