Pour sensibiliser les Lyonnais et Lyonnaises aux enjeux du dérèglement climatique, la mairie du 1er arrondissement de Lyon lance ce samedi la 3e édition de sa "Semaine Climat". LA Bergerie urbaine et l'association Des Espèces Parmi'Lyon y participent.
C'est parti pour deux semaines de réflexion sur les enjeux climatiques dans le 1er arrondissement de Lyon. Dérèglement, effondrement de la biodiversité, épuisement des ressources, la mairie lance aujourd'hui, samedi 7 octobre, la 3e édition de la "Semaine Climat", qui durera en réalité une quinzaine de jours, jusqu'au 21 octobre. "Cette année, la Semaine Climat a mis son focus sur le vivant : la vie dans sa diversité et son dynamisme, à découvrir et à partager à tous âges, en toute convivialité", souligne Yasmine Bouagga, maire du 1er, dans un dossier de presse.
Bergerie urbaine et découverte de la faune lyonnaise nocturne
Un vingtaine d'événements sont prévus. Parmi eux, une déambulation organisée le 18 octobre par la Bergerie urbaine, structure d'élevage et d'agriculture urbaine collaborative installée dans la métropole de Lyon.
Le lendemain, jeudi 19 octobre, l'association naturaliste Des Espèces Parmi'Lyon, qui dénonçait il y a quelques jours l'utilisation d'un pesticide toxique, organise une sortie nocturne pour découvrir la faune et la flore lyonnaise sous un autre oeil. De nombreux ateliers seront accessibles aux plus petits, dont un jeu de l'oie sur l'écologie le mardi 10 octobre place Sathonay.
Retrouvez le programme complet de la Semaine Climat ici.
A part les solutions romantiques et insignifiantes type jardins partagés, il ne semble pas y avoir ce que les vrais gens vont faire pour s'adapter à savoir isoler les logements, améliorer les climatisations, adapter les cultures, ...
Les jardins partagés peuvent nourrir énormément de monde lorsqu'il y en a suffisamment. Et c'est très bien pour la sécurité alimentaire.
Mais problème : tout est pollué sur Lyon... les PFAS, les résidus pétroliers issus des voitures, camions, bus et de l'industrie chimique au sud de Lyon... sans parler de l'eau du rhône et de la saône...
Quant au reste de vos remarques : oui, mais tout cela nécessite des budgets, et à cause de la monnaie on continuera à préférer des passoires thermiques parce que "ça fait mieux tourner le business".