Scène surréaliste ce mardi matin dans le quartier de Lyon-Gerland, où des centaines de Roms, erraient dans les rues -matelas, bouteilles de gaz et enfants sous le bras-, après s'être fait expulser d'un terrain vague, occupé dans la nuit.
Sous les yeux de dizaines de policiers mobilisés sur ordre du préfet; 140 ressortissants roumains dont quarante enfants, ont été expulsés ce mardi matin d'une ancienne usine située au 235-237 rue Marcel Mérieux à Lyon 7e. Non loin des sièges sociaux de Mérial et Sanofi et sous les yeux médusés des habitants et des salariés du quartier à la pause déjeuner; les familles ont déménagé leurs caravanes à main-nues, et le maximum de biens matériels dans le dénuement le plus total, avant que les forces de l'ordre ne procèdent à la sécurisation du terrain, appartenant "à un propriétaire privé" selon la préfecture.
La veille encore, les ressortissants roumains occupaient encore un autre terrain vague, situé à proximité, rue Jean Baldassini. Un terrain investi fin avril, intéressant pour sa proximité avec une antenne locale des Bains douches. Pratique pour se laver, même si la fermeture le soir, le week-end et en période de congé, entrainait une partie des Roumains à faire leurs besoins, au pied des immeubles, selon les riverains pour certains excédés.
Après une décision de justice prononcée le 14 août, une expulsion forcée du terrain était envisagée dans les prochains jours. Les Roms, s'attendant à voir débarquer la Police, avaient donc pris les devants. Certains d'entre-eux étaient partis en repérage afin de trouver un autre lieu à occuper. Ils avaient élu domicile "dès le 2 septembre" selon certains témoignages, dans une ancienne usine de la rue Marcel Mérieux; le gros de la troupe les y a rejoints dans la nuit.
Les forces de l'ordre arrivée sur place ce mardi matin ont considéré que "les serrures avaient été forcées". Sous l'égide du préfet, elles n'ont donc pas tenu compte du "délai de 48h" au-delà duquel une décision de justice est nécessaire pour expulser un squat et ont procédé à l'expulsion immédiate de l'ancienne usine et du terrain attenant.
Pas de solution de relogement
Sur place, les associations d'aide aux Roms étaient catastrophées. "D'habitude, ils ont un point de chute, mais là, c'est la première fois qu'ils n'en ont pas. Ils restent dans le quartier, sous les abris-bus, ils ne savent pas où aller", s'inquiétait Gilberte Renard, de l'association CLASSES qui suit les enfants de Roms.
Un salarié des services sociaux de la Ville assurait -en off- connaître la plupart des familles "depuis trois ans, voire huit ans pour certaines. Seules certaines familles arrivées récemment de Saint-Etienne ne sont pas connues de nos services". Un habitant devant le déménagement en cours commentait "c'est le temps des gitans !" en référence au film d'Emir Kusturica primé à Cannes en 1989.
Mais alors que six enfants du campement venaient tout juste d'être inscrits à l'école du quartier la semaine dernière, les familles ne savaient toujours pas où dormir à 17h30. Selon le 115, il n'y avait pas de places pour les loger dans les foyers d'hébergement d'urgence.
Par ailleurs, une personne a été placée au centre de rétention administrative de Lyon ce mardi matin; sous le coup d'une OQTF, elle est en voie d'être expulsée du territoire français. Une seule famille s'est vue proposer un hébergement "à titre humanitaire" par la préfecture, "le temps de prodiguer à l'enfant malade les soins nécessaires et suffisants dans l'attente de statuer sur la situation administrative de cette famille".
Alors que le 7ème arrondissement se prépare à fêter son centenaire, Gerland a la mémoire courte : à l'époque où ce quartier était celui des 'baraques', la police n'avait pas fonction principale de venir déloger les pauvres gens ni de détruire leurs baraques de bois, de tôles et de goudron ! Il y avait peut-être un peu plus de respect de la nature humaine et chacun cherchait à trouver des solutions de relogement pour ces familles... Au lieu de cela, aujourd'hui, on laisse à la rue des dizaines de familles qui sont pratiquement 'assignées à résidence' à côté de leur vieilles caravanes stationnées le long de l'avenue Debourg ... A moins que, comme pour les personnes prostituées du même quartier, Monsieur le Préfet emploie les grands moyens pour embarquer à la fourrière les dites caravanes . Caravanes / Estafettes : même combat ?
Je suis salariée de la société qui touche le camps de Roms, celle qui est considérée par ceux-ci comme leur WCs à ciel ouvert. Il y a le linge qui sèche sur nos barrières, lavé aux bornes incendies, mais nous ce qui nous dérange le plus c'est l'odeur de leurs excréments qu'ils font sous nos fenêtres et à notre vue Nous sommes obligés de travailler fenêtres closes (à cause des invasions de mouches) et volets baissés (car nous sommes choqués à chaque fois que les Roms viennent, tout au long de la journée et en plein milieu de nos jardins pour faire leurs besoins).Nous ne mangeons plus à l'extérieur pour éviter ce champs de mine. La mairie a ouvert les bains-douches et les WCs en face pour eux, et pourtant... Nous sommes une société de services ; des clients viennent dans nos locaux. Ils ont été agressés verbalement, tout comme nous, par les enfants. Bien sûr, lors de la venue du préfet les associations ont informé les Roms et ils ont ainsi nettoyé leurs excréments et la rue, cela a été l'unique fois. Mais depuis leur arrivée notre entreprise fait appel toutes les semaines à une entreprise de nettoyageNous salariés que devons nous faire ? Démissionner ? Notre employeur doit-il prendre un vigile avec un chien 24h/24H ? Quel est le rôle de la mairie du 7ème et quel est le rôle du préfet dans tout cela ? Nous n'en pouvons plus de ces conditions de vie. C'est intolérable. aujourd’hui hui ils sont revenus a 17h ...
9Quant à moi je fais partie des policiers qui sont intervenus directement sur place dans le calme et sans défiance, contrairement à ce qui est souvent véhiculé dans les médias. Je fréquente moi aussi certaines de ces familles depuis plus de 6 ans. J'ai vu grandir certains de leurs enfants, avec tout le lot de délinquance qu'implique leur mode de vie. J'écoute aussi les plaintes des riverains qui n'en peuvent plus de façon légitime. La démocratie, c'est cela aussi. Se borner à un discours angélique est trop facile, surtout lorsque l'on vit loin des problèmes. L'assimilation instantanée de centaines de nomades qui ne vivent d'aucun revenu en marge de la société dans une ville qui ne peut même plus loger ses étudiants, quoi d'étonnant ?
ben les cherchez plus ils sont maintenant dans le 7e rue montesquieur, dans des batiments du grand lyon, non non ils payent kedalle, en plus electricité gratos 'ils ont meme la parzbole) dayeurs ils ont toujours des velos (qu'ils ont volé)et apperement les adsociations dise pas qu'ils volent et qu'ils agrsessent place du pont, et que certaine rom qui sont la depis quelques annees continue de pondre faite un tour a guillotiere vers la rle montesquieu et place gabriel peri ou les vieux en manque de sexe vont faire un ti tour et les rom aperemment s'en plaigne pas mais les riverains, les commerces en ont ras le bol de ce qu'est devenenu le quartier cest une vrai poubelle et on ne sort plus le soir c'est dangereux
WHITES AREN’T WELCOME IN AMERICA ANY LONGER !!! OUT OF AMERICA WITH WHITES NOW !!! OBAMA'S HEALTH CARE RECORDED LIVE IN 2009 (EXILING WHITES WITH EXTREME PREJUDICE AND IMPORTING NON WHITES IMMIGRATION REQUIREMENTS FREE). http://www.youtube.com/user/BostjanAvsec