Mercredi 12 juillet, à proximité de la Manufacture des Tabacs (Lyon 8e), un individu, connu des services de police, a fui à bord d'une trottinette débridée.
En fin de matinée, malgré les sirènes et gyrophares du véhicule de police, un individu au visage dissimulé, refuse de s'arrêter. Alors qu'il zigzague entre les voitures, le compteur de vitesse des agents en poursuite, affiche 70 km/h.
Après 600 m, le fuyard tente de tourner à droite, sur la piste cyclable qui traverse le campus universitaire de la Manufacture des Tabacs. Il perd le contrôle et chute. Il est interpellé.
Durant son audition, le jeune homme d'une vingtaine d'années assure n'avoir pas réalisé que c'était lui que les agents poursuivaient. En défaut d'assurance pour son bolide et après un refus d'obtempérer, il est laissé libre, et écope d'une amende .
C'est évident la chute doit être imputée aux poursuivants, donc mise en examen, marche blanche, manif anti police, la procédure habituelle quoi !!! avec le soutien de qui l'on sait!
Les marches blanches deviennent des crimes aux yeux de l'extrême droite...
visage dissimulé.. au cas où on pourrait le reconnaitre !
On pourrait parler de tous ces policiers qui sont en service sans leur code d'identification. Et ce malgré les lois françaises ! 🙂