Dans la nuit de samedi à dimanche, des activistes écologistes ont recouvert des publicités lumineuses d'affiches pour dénoncer le gaspillage énergétique. Ils ont éteint plusieurs enseignes commerçantes lumineuses.
A force d'affiches dénonciatrices, ils se sont mobilisés pour pointer du doigt "l’absurdité du gâchis en pleine crise énergétique". Ces affiches ont été apposées dans la nuit de samedi à dimanche par des militants des associations Greenpeace, Alternatiba ANV Rhône, Résistance à l'Agression Publicitaire et Plein la Vue, sur un écran numérique, 8 grands panneaux publicitaires rétro-éclairés, 8 autres panneaux plus petits et un abribus, dans les quartiers d'Ecully et de Vaise. Au total, 7 enseignes allumées ont aussi été coupées.
Les militants appellent les pouvoirs publics à "une extinction immédiate et générale des publicités lumineuses, comprenant écrans numériques et panneaux rétro-éclairés, et des enseignes de grands magasins en dehors des heures d’ouverture, beaucoup trop nombreuses dans l’espace public".
Pour "un plan de sobriété juste avec des mesures ambitieuses"
Selon les activistes, les récentes dispositions prises par le gouvernement pour réguler les publicités et les enseignes lumineuses restent insuffisantes. "Ce que l'on attend du président qui représente les citoyennes et citoyens, c'est un plan de sobriété juste avec des mesures ambitieuses socialement équitables, écologiques afin que personne n'ait à choisir entre se nourrir ou se chauffer », a déclaré Sandrine Blain, porte-parole de Greenpeace Lyon.
"Ceux qui consomment le plus ont davantage d'efforts à faire, et n'ont pas la même responsabilité que ceux qui cherchent aujourd'hui à répondre à des besoins vitaux comme se chauffer ou se nourrir", a par ailleurs indiqué Charles de Lacombe, porte-parole d'Alternatiba ANV Rhône. Comment demander des efforts quand chaque jour sont allumés en France au moins 55 000 écrans publicitaires ?".
A Lyon, plusieurs institutions et établissements ont successivement dévoilé leur plan de sobriété énergétique, notamment la Métropole, les villes de Lyon et Villeurbanne, les hôpitaux HCL et l'Université Lyon 2. La mairie de Lyon a par ailleurs décidé de réduire l'éclairage urbain plusieurs nuits par semaine.
Mi-octobre, la Ville de Lyon a aussi présenté sa charte "sobriété commerce énergie". Celle-ci comporte cinq mesures que les commerces signataires doivent s'engager à respecter.
Et pour les trottinettes et les smartphone on débranche quand !
Hors sujet, comme pour l'arrêt des terrasses hyper-bruyantes mais qui plaisent à Doucet.
Les escrologistes malfaisant font leurs lois.
Qu'ils ne viennent pas se plaindre si certains défendent leurs biens de façon un peu musclée.
Ne vous inquiétez pas, il est déjà connu que ceux qui meurent, ce sont les écologistes à travers le monde, et non les pollueurs qui s'en sortent toujours. (250 morts l'année dernière pour les défenseurs de l'environnement, combien du côté des pollueurs ? )
Le terrorisme qui tue, c'est les pollutions imposées à tous.
135€ d'amende pour entrave à la liberté de circuler et des TIJ pour les fils à papa qui n'ont jamais travaillé de leur vie et détruisent des tableaux au nom de leur connerie de branleurs
Pas de problème pour l'entrave à la liberté de circuler, à condition que ce soit bien une amende pour tous, y compris pour tous les livreurs et personnes qui se garent en double file.
"jamais travaillé" c'est évidemment très drôle lorsqu'on voit les photos où des personnes retraitées participent.
Quant à la "destruction de tableau" ce n'est qu'un fantasme ou plutôt de la propagande politique de votre part, vu qu'aucun tableau n'a été détruit ou ne serait-ce dégradé, ces tableaux ayant toujours une vitre protectrice.
"En suivant votre suprême analyse" !