Phrases chocs, petites piques, polémiques, vérité crue... Le pire et le meilleur des petits phrases entendues ici et là à Lyon.
“Une majorité de Lyonnais refusent que Grégory Doucet et Bruno Bernard installent un mur de Berlin invisible à Lyon”
s’est emporté Jean-Stéphane Chaillet, premier adjoint du 2e arrondissement, pour évoquer la fermeture à la circulation de la rue Grenette.
“L’occupation était illégale et ça n’est pas une solution”
a dénoncé Sandrine Runel après l’évacuation d’un gymnase municipal occupé par des familles à la rue orientées par des associations qui leur viennent en aide.
“C’est une blague ?”
s’est offusqué Bruno Bernard, le président de la Métropole de Lyon, après une déclaration d’Emmanuel Macron rendant responsables les collectivités locales “de la dérive des comptes publics”.
“Je n’ai jamais perçu quelque rémunération que ce soit.”
L'ex-député (EÉLV) du Rhône, Hubert-Julien Laferrière, suite aux soupçons de rémunération par un lobbyiste en contrepartie d’interventions à l’Assemblée nationale. Une demande de levée d’immunité parlementaire est en cours.
“La Région s’assoit sur les métropoles”
attaque Jean-Charles Kohlhaas (EÉLV), vice-président de la Métropole de Lyon chargé des déplacements, déplorant que le volet mobilité du contrat plan État-Région 2021-2027 donne la priorité aux transports routiers (500 millions d’euros) sur le ferroviaire (430 millions d’euros) et les RER métropolitains (322 millions d’euros).
“Comment cette majorité municipale peut-elle être autant à côté de la plaque ?”
Pascal Blache réagit aux problèmes d’insécurité survenus depuis quelques semaines dans son arrondissement de Lyon. Le maire (LR) du 6e estime que la municipalité écologiste fait preuve d’angélisme.