Mardi 1er février à 18h, à l'occasion de l'anniversaire d'appel de l'hiver 54, le collectif Jamais sans toit appelle à un rassemblement à Lyon
Ils veulent faire de ce rendez-vous à un moment "festif et revendicatif". Les membres du collectif Jamais sans toit organisent un rassemblement mardi 1er février, devant le "mur des lyonnais" à Lyon (1er). L'occasion de célébrer l'anniversaire de l'appel de l'Abbé Pierre du 1er février 1954. Lors de cet appel, nommé "insurrection de la bonté", l'abbé Pierre a interpellé les pouvoirs publics sur la situation des personnes sans domicile fixe alors que l'hiver est rude.
Jamais sans toit se place dans cet héritage. Ce collectif recense et aide les enfants scolarisés dans la Métropole de Lyon et leur familles qui n'ont pas de toit sur la tête. Lors du rassemblement organisé, un repas est prévu ainsi que des lectures, de la musique et du chant.
Lyon Capitale a consacré plusieurs articles à la mobilisation du collectif. Retrouvez-les ci-dessous.
Métropole de Lyon : pour les élèves sans domicile, la solidarité s'organise
Se souvenir que l'appel de l’Abbé Pierre s'était révolté contre la misère des années succédant à la guerre. où il était du domaine de l'impossible aux enfants de France de se loger à minima, Aujourd'hui , le mal logement voir l'absence touche des populations qui arrivent sur notre sol , sachant qu'elles seront prises en charge. Il faut avant l'admission sur le sol national que notre pays mette les moyens, logements, éducation à disposition des arrivants. Mais la situation doit bien profiter aux marchands de sommeil et autres emplois non déclarés. C’est pourquoi le contrôle à priori est nécessaire depuis les pays d'origines.,
Raisonnement hors sol de tous les "dehors les étrangers".
Les personnes qui fuient n'ont pas forcément des papiers (le voyage est dangereux, ils se font voler, leur pays n'en établit pas forcément, etc)
Prouver leur pays d'origine n'est pas possible lorsqu'il faut vérifier quoi que ce soit auprès d'une administration dans un pays qui n'a pas des "relevés d'identités correcte de toute la population", et on ne parle pas de "vérifier qui a fuit" lorsque les gens partent d'une pays dictatorial.
Au final, vous ne pouvez pas "reconduire à la frontière" des personnes dont il est impossible d'établir "dans quelle frontière il faut les ramener".
Il est donc préférable d'arrêter de foutre la merde dans leur pays en soutenant leurs dictatures (par nos ventes d'armement) ou par les magouilles avec l'énergie (pétrole, gaz, etc), qui ensuite engendre la misère politico-économique chez eux et qui les pousse à fuir.
Si on ne veut pas avoir à les héberger, il fallait pas les laisser rentrer ou alors les renvoyer. Si ces associations veulent s'en occuper, qu'elles le fassent avec leur argent, pas le notre.
Si vous allez dans un commerce qui emploie des sans papier, vous les "financez" pour votre plus grand bonheur ! 😀
(et on ne parle pas du BTP...)