Alors que le pass vaccinal n'a pas encore été adopté par le Parlement, une nouvelle manifestation est prévue à Lyon samedi 15 janvier place Bellecour (2e).
Le collectif Lyon pour la Liberté, appelle à manifester samedi 15 janvier à 14h au départ de la Place Bellecour. Les organisateurs s'opposent à la mise en place du pass vaccinal. Le collectif proteste aussi contre la vaccination "et ses effets secondaires", contre le "la "vaccination" des enfants, les masques, les protocoles sanitaires à l'école", et dénonce même le "Grand Reset" (théorie complotiste d'une conspiration des élites contre le peuple).
Sera présent à l'évènement Pierrick Thevenon, un pompier. Une vidéo de lui, devant l'hôpital Saint-Joseph Saint-Luc avait tourné sur les réseaux sociaux. Il affirmait qu'une infirmière de l'établissement lui avait fait part d'une corrélation entre cas d'AVC et vaccination contre le covid-19. Une information démentie par l'établissement hospitalier. Jeudi 13 janvier, devant le tribunal administratif, il aurait été sanctionné d'un mois d'exclusion avec 15 jours de sursis, selon une source syndicale qui s'est confiée au Progrès.
Jeudi 13 janvier, les sénateurs et députés n'ont pas réussi à se mettre d'accord sur une version commune du projet de loi pour le pass vaccinal. Le texte va devoir repartir pour une navette entre l'Assemblée nationale et le Sénat en vue de son adoption définitive. Le gouvernement qui espère une entrée en vigueur de ce dispositif sanitaire autour du 20 janvier.
Le gouvernement LREM n'écoute que lui-même (que les ordres de Jupiter, qui pourtant n'a aucun pouvoir réel sur les députés - sinon des dossiers ou des moyens financiers à accorder ou non grâce à ceux qui tirent les ficelles),
leur politique en matière de santé est un échec : destruction de l'hôpital public, fuite du personnel, injections de masse mais explosion des cas, faire croire que "les cas graves sont moins nombreux grâce à un vaccin" alors qu'un vaccin, soit ça protège, soit ça ne protège pas. Les injections sont "un traitement" (dont les conséquences ne sont pas connues sur le long terme) et non un vaccin.
Etc.
Les vaccins quels qu'ils soient n'ont jamais une couverture à 100% et en outre la plupart sont pour une durée limitée: souvent 5 ou 10 ans, parfois beaucoup moins comme le choléra pour 6 mois... Médicament ou vaccin il ne s'agit pas de la même chose.
Un vaccin dont le 4ème rappel est organisé, ceci tous les 3 mois, ce n'est pas un vaccin mais un traitement.
Votre "jamais une couverture à 100%" est une sémantique volontairement trompeuse, une manipulation :
Un vaccin, ça protège ou ça ne protège pas, mais pas "à moitié en évitant les cas graves" (qui reste à démontrer scientifiquement avec un panel test et non avec des statistiques nourries par des politiciens).
ça a été appelé un "vaccin" pour ensuite obliger les masses à se faire injecter. Avec le mot "traitement" les résistances auraient été beaucoup plus importantes, surtout pour un traitement non testé sur le long terme.
Et ne pas oublier que "le pass vaccinal" est sensé stopper la propagation, or on sait déjà que ça n'empêche absolument pas la propagation puisque les injectés restent contaminant pour les autres et pour eux-mêmes.
Le but de tout ça est le traçage (pour le contre-terrorisme ? Pour autre chose ?) (la police Allemande a été "prise la main dans le sac" en utilisant une appli "anticovid" voir info il y a 48h).
Lorsque l'extrême droite aura pris le pouvoir, tous les outils seront là pour les utiliser pleinement. Merci LREM. Et il sera trop tard pour vous et votre liberté de penser. C'est donc cela que vous validez ?
"Les vôtres vous effraient par leurs conséquences" sic !
Une minorité (1000 sur un million) qui a surtout décidé d'emm..er la majorité des citoyens: un déni des règles démocratiques, une mise en danger des autres et une pagaille organisée tous les samedis. Qu'ils aillent sur une ile déserte, ils s'emm...ront ensembles.