Dans la nuit de jeudi à vendredi, les policiers ont mené une opération pour repérer et appréhender les chauffeurs UberPop.
Une opération de police s'est déroulée dans les rues de Lyon ce jeudi soir, avec pour objectif de repérer et interpeller les chauffeurs affiliés à l'application UberPop, révèle Le Progrès ce vendredi.
En décembre dernier, une opération de ce type s'était déjà déroulée, entraînant l'interpellation de plusieurs chauffeurs.
Plusieurs opérations de police comme celle de ce jeudi viennent sanctionner les chauffeurs UberPop un peu partout en France. Le nouveau préfet de la région Rhône-Alpes Michel Delpuech s'était même particulièrement illustré dans ce domaine. En février 2015, il avait pris un arrêté interdisant cette activité sur l'ensemble du territoire de la Gironde, son précédent lieu d'affectation.
La situation d'UberPop, qui permet la mise en relation de particuliers pour effectuer des trajets, facturés au kilomètre, est aujourd'hui dans un vrai flou juridique.
Alors que la société américaine provoque la colère des taxis, qui se plaignent d'une concurrence illégale et de travail dissimulé, la cour d'appel de Paris n'a pas expressément interdit ce service, le 31 janvier dernier. Pourtant, la loi Thévenoud l'avait rendu illégal au 1er janvier 2015. Difficile d'y voir clair donc. Le Conseil constitutionnel, saisi de plusieurs questions prioritaires de constitutionnalité sur le sujet, devrait faire un peu de lumière sur le sujet.
C'est beau un monde où chacun peut faire la loi... Il se passerait quoi sans utilisation de monnaie ? Que deviendrait cette problématique ?
Dormez tranquille citoyen la police veille, bref ce Préfet est à l'image du gouvernement...ça mouline ça mouline mais rien d'utile.
Cela expliquerait-il la présence policière inhabituelle hier soir sur le Cours Charlemagne ?En tous cas, pendant que la police contrôlait des automobilistes (à ce titre ou à un autre), les prostituées opéraient librement, recevant régulièrement la visite de leurs macs. Ce doit être ce qu'on appelle 'le sens des priorités'.Par ailleurs, ce ne serait pas plus mal as la police pouvait également davantage sévir à l'encontre des automobilistes qui se garent sur les pistes cyclables en se mettant en 'warning', mettant délibérément en danger la vie des cyclistes, contraints de 'déboîter'.