L’augmentation du prix de stationnement automobile a suscité quelques débats au conseil municipal du 29 janvier. Stéphane Guilland criant même au “racket organisé” des automobilistes.
Au 1er janvier 2018, les tarifs de stationnement et amendes pour non-paiement ont été fortement augmentés par la ville de Lyon. Une décision qui a animé les débats ce lundi en conseil municipal. Le président du groupe LR, Stéphane Guilland, a crié au "racket organisé". Il préférait, dit-il, que les tarifs des trois premières heures en zone Presto soient calqués sur les tarifs LPA, avançant alors un montant de 23 euros pour cette durée contre 7,2 euros dans les parkings LPA.
Ce non-alignement "n’offre aux personnes désirant déjeuner dans le centre d'autre alternative que d'alourdir l'addition de quelque 23 euros pour 3 heures. Les commerçants et les restaurateurs en perçoivent déjà les effets", a critiqué l’élu LR. En effet, si la première heure ne coûte que 2 euros, le prix monte à 11 euros au bout de deux heures et à 23 euros pour trois heures. Puis les prix montent crescendo : 35 euros pour 5 heures, 53 pour 8 et 60 pour 10. Des tarifs que la municipalité justifie par la volonté de "favoriser une meilleure rotation des voitures pour que chacun puisse trouver une place".
la meilleure réponse on évite ces quartiers et par là même commerces et restos , laissons leur le soin de 'contacter' les élus responsables.