L'agresseur du maire de Grigny a été condamné lundi à deux ans de prison : un an de prison à domicile avec bracelet électronique, et un an avec sursis.
Jeudi 17 février, le maire de Grigny (dans la Métropole de Lyon), Xavier Odo, a été agressé par un homme à l'occasion d'une visite sur le marché de sa ville. Comme nous l'avons rapporté jeudi dernier, le maire avait été pris à partie par un résident de sa commune alors qu'il discutait avec des habitants. Après avoir essayé d'échanger avec lui, l'homme l'aurait alors "violemment frappé au visage", puis insulté et menacé de mort. Des insultes et menaces également dirigées contre un autre élu et deux agents municipaux. L'agresseur, qui aurait été en possession d'un couteau, a ensuite été interpellé.
Samedi, de nombreux élus de la Métropole de Lyon et du Rhône se sont retrouvés devant l'Hôtel de ville de Grigny, en soutien à Xavier Odo.
L'agresseur, âgé de 36 ans, a été jugé en comparution immédiate ce lundi 21 février, à Lyon. Il a été condamné à deux ans de prison : un an de prison à domicile avec bracelet électronique, et un an avec sursis. Il a aussi interdiction de paraître dans la ville de Grigny et doit verser 1000 euros de dommages et intérêts au maire de Grigny.
Au tribunal, il a expliqué qu'il réclamait un logement social depuis un an, sans l'obtenir. "Je regrette vraiment. C'est une grave erreur ce que j'ai fait. Mais je l'ai vu, et j'ai craqué...", a expliqué l'agresseur devant le tribunal, selon des propos retranscris de nos confrères de Radio Scoop.
Le suspect a déjà été condamné par le passé, pour des faits de vols, d'outrage, et de violences avec arme
Manque d'infos, la publication de son brillant passé, assortie d'une photo avec identité, mais il ne s'agit certainement pas de Dupond, Dupont, Martin etc ou autres patronymes gaulois.
L'habituelle remarque purement raciste du sieur Galapiat.
Votre "tous dans le même sac" est ce qui mène aux problèmes. Et évidemment, sans avoir la moindre preuve de ce qu'il sous entend.
un logement social depuis un an.. Pour certains l'attente existe depuis plusieurs années. Des "non prioritaires "!