Le service de presse de la ville de Lyon a visiblement reçu la consigne de ne plus communiquer la moindre information à Lyon Capitale. Il semblerait que nos récentes enquêtes sur la corruption au Grand Lyon (lire Lyon Capitale de juin et de juillet/août) soient la cause de ce boycott un peu ridicule qui ne nous empêchera pas de continuer à informer nos lecteurs. Car comme l’écrit si bien Gérard Collomb sur son blog, au sujet de nos confrères retenus comme otage Stéphane Taponier et Hervé Ghesquière : « La liberté de la presse est une liberté fondamentale. » Apparemment, pour le maire de Lyon, c’est vrai surtout loin de sa ville…
https://gerardcollomb.blogspot.com/2010/06/liberte-de-la-presse.html
Cette histoire devient absolument grotesque!Mais ils ont pété les plombs à la Mairie de Lyon? Rebranchez Monsieur COLLOMB, le court-circuit n'a que trop duré! Pareil 'humaniste' qui boycotte des journalistes, je crois n'avoir jamais vu ça : c'est vraiment une honte! J'ai vu que Monsieur QUEYRANNE partait rencontrer le numéro 2 Chinois, probablement qu'il pourra ramener d'autres 'tuyaux' à Monsieur COLLOMB pour convenablement gérer les médias!Il faut croire que les dernières enquêtes de LYONCAP ont fait mouche... et qu'il y a probablement d'autres lièvres à lever! Entre nous soit dit, c'est très encourageant! Continuez!
Lyon Capitale parle de 'boycott ridicule' dont la cause serait son 'enquête' 'sur la corruption au grand Lyon' (Notons au passage que le terme 'présomption d'innocence' et des notions élémentaires de droits n'ont toujours pas pénétré au sein de la rédaction de Lyon Capitale)Et si ce 'boycott' ou plutôt ce refus de communiquer était tout simplement la conséquence logique d'un accumulation d'articles à charge, de jugements de valeurs portés dans de nombreux articles, de critiques sans fondements...Etc. Qui vont même jusqu'à mettre en cause des services entiers d'une agglomération, et à jeter aux chiens l'honneur de centaines de fonctionnaires ? A titre personnel, j'aurais boycotté ce 'mensuel' depuis fort longtemps...Au regard du ton employé par ses journalistes, des enquêtes à charges produites et surtout de la personnalité du propriétaire de Lyon Capitale que la presse lyonnaise a unanimement qualifié par cet euphémisme 'Pas farouche avec l'extrême droite'.Et oui, je me répète...Mais il est important que les internautes et lecteurs se questionnent sur la question de l' 'indépendance' de Lyon Capitale.PS : Utiliser l'hommage rendu par la ville de Lyon à deux grands reporters détenus en Afghanistan -qui prenaient des risques pour informer et faisaient, eux, honneur au journalisme- pour régler vos comptes personnels avec M. Collomb est d'une élégance éloquente !
*notions élémentaires de droit*jugements de valeurDésolé pour ces fautes de frappe,Je profite de ce second commentaires pour diffuser quelques liens à toute fin utile pour les internautes de LyonCapitale.fr qui pourront mesurer, sur pièces, ce qui signifie la 'liberté de la presse' et l' 'indépendance' pour ce mensuel :http://tempsreel.nouvelobs.com/dossier/medias-pouvoirs/20071227.OBS2141/le-pdg-de-fiducial-menace-l-independance-de-lyon-mag.htmlhttp://libelyon.blogs.liberation.fr/info/2008/04/latouche-fait-m.htmlhttp://libelyon.blogs.liberation.fr/info/2009/01/le-feuilleton-i.htmlhttp://www.mlyon.fr/37120-la-bataille-lyon-maglatouche-se-poursuit.htmlhttp://www.lyonmag.com/article/8316/protestation-des-salaries-de-lyon-mag-devant-fiducial
Visiblement dans cette vidéo vous n'avez qu'une assistante et non le responsable de presse. C'est donc un peu rapide pour en tirer une déduction construite...Pour le reste il semble que Lyon Capitale monte vite en épingle tout conflit avec la Mairie. Dommage.
Bref : la vérité est d' extrême droite.
Ce que ne comprennent ni Lumière, ni jm calther, c'est que nous sommes dans un Etat de droit doublé d'une République démocratique.Cela signifie : - Etat de droit : que des differends peuvent opposer des personnes et que ce conflit se règle devant les juridictions : un exemple récent puisque Lumière aime les 'liens' http://www.fiducial.fr/files/fiducial/pdf/Arret-Cour-Appel-290610-2.pdf
A priori les sous-sous produits du Régime Collomb n'ont pas reçu la consigne... Les jm calther, Lumière, Grand Lyonnais, Blachier et autres JULIE continuent-ils à nous servir la soupe Collomb en 5ème colonne ? Ils ne commentent en tous cas toujours pas les bons articles au bon moment de manière intelligente... Le régime part en sucette...
@ Lumière si vous pouviez aussi boycotter le site (comme vous avez boycotté le journal) vous assumeriez alors une vraie mission de service public. Stop aux emplois fictifs.
@patrick Cessez de m'attribuer des propos. Où voyez vous que pour ma part que je parle de conflit juridique ?@Jérôme Manin: Je débat. Point. Ce n'est pas parce que vous n'êtes pas d'accord avec moi qu'il y a un gros complot derrière. La vie n'est pas binaire.
Le Régime Collomb dérape ! Ça ne peut plus durer, les citoyen Lyonnais sont en droit de demander la démocratie.
@ chiffon rouge : Après la censure, la diffamation...les traditionnelles accusations d'emplois fictifs.Ça vole haut, très haut... Aurai-je abordé des sujets qui fâchent ? Vous m'en voyez désolée.
Les citoyens lyonnais ont la démocratie et ils votent. Pas pour vous Jérôme, en témoignent les piètres résultats électoraux dont vous êtes l'auteur.
@jm caltherLa vie n'est pas binaire mais vous oui. Primaire serait d'ailleurs plus juste. Vous défendez dans un même élan Lyon Mag, Collomb et Rivalta. Intéressant. Très intéressant. Et Quyeranne, vous l'oubliez ?
J'espère que Stéphane Taponier et Hervé Ghesquière n'ont pas accès à Internet...S'ils apprennent que des membres de la rédaction de Lyon Capitale se sont déclarés comme leurs 'confrères'...Ça a du être très difficile pour eux.
@chiffon rouge je ne défend pas spécialement Lyon Mag. Je suis par ailleurs un fidéle lecteur tant de Lyon Capitale que de Mag2Lyon que de Tribune de Lyon, tout comme j'ai voté pour Queyranne. Je n'ai pas de sympathie pour Rivalta non plus et, sans tout connaitre à sa politique j'aime assez bien ce que fait Queyranne et les verts qui bossent avec lui.
A votre tour:
'Ça ne peut plus durer, les citoyen Lyonnais sont en droit de demander la démocratie.' Toujours aussi grotesque et fâché avec la grammaire ce Monsieur Manin...Et toujours sur ce site.Le marigot Lyon Capitale - Millonistes - Droite lyonnaise grouille toujours.
Le régime Collomb ne se cache même plus pour censurer la presse ! Soutenu par une meute de prébendiers il ne connait là non plus aucune limite. Que fait Robert Ménard ?
Puisqu'il faut exhumer des articles de presse... pour rappeler le vrai visage de CollombDébut d'année horribilis pour Gérard Collomb mercredi 11 janvier 2006 - Le ProgrèsEn 2005, tout semblait réussir à ce maire populaire, au faîte dans les sondages. Puis patatras : des affaires éclatent autour de lui comme autant de bombinettes qui ruinent son image consensuelle. Le cabinet du maire ne cache pas qu'il a à tenir compte d'une situation de crise sans précédentDonné en 2005 vainqueur par des instituts de sondage aux prochaines municipales face à Dominique Perben, Gérard Collomb essuie depuis l'automne, un faisceau de tirs groupés, tous du plus mauvais effet sur l'aura dont il semblait jusqu'ici bénéficier. La première brèche apparaît le 4 octobre, quand Patrick Bertrand indique, dans le Progrès de Lyon, les raisons de sa démission de la vice-présidence du Grand Lyon. Et commence à évoquer 'une entente tacite entre les entreprises qui se répartissent les marchés de la Communauté urbaine'.Nouvel accroc mi-octobre avec la mise en cause par l'hebdomadaire Les potins d'Angèle de l'un de ses proches, Bernard Rivalta, pour des indemnités illégales qu'il se serait fait verser par le Sytral qu'il préside. Puis le 6 décembre, alors que le maire de Lyon savoure à l'avance le succès annoncé de la Fête des lumières, des enquêteurs de la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), effectuent une descente au Grand Lyon, posent des scellés sur le bureau de son président, en visitent d'autres, et embarquent notes, courriers et disquettes informatiques.En cause, l'absence de concurrence relevée par le ministère de l'Economie et des finances dans l'attribution des marchés de Lyon Parc Auto. Pour l'instant, le conseil de la concurrence n'est pas saisi.Rebelote juste avant Noël, quand le maire de Lyon est accusé par l'hebdomadaire Lyon Capitale, de vouloir 'museler la presse', après qu'il ait demandé à ses services de ne plus acheter d'espace publicitaire dans le journal. 'Je ne pouvais accepter plus longtemps d'acheter des pleines pages de pub dans un journal qui écrit des choses fallacieuses sur moi, sans qu'elles soient vérifiées' déclarait le maire, le 16 décembre au Progrès de Lyon. 'Il a fait pression auprès des industriels lyonnais pour qu'ils ne nous donnent plus de pub' s'indignait de son côté la rédaction de Lyon Capitale, dont le journal été placé en redressement judiciaire, hier (lire ci-dessous).Le 5 janvier Gérard Collomb est de nouveau accusé de faire pression sur la presse, sur son ami Fernand Galula cette fois-ci, quand le patron de l'hebdomadaire Tribune de Lyon refuse dans un premier temps la parution d'un article évoquant l'audition, ce mercredi, du maire de Lyon par la brigade financière de la police judiciaire.Gérard Collomb est effectivement entendu ce jour, en qualité de témoin dans une enquête portant sur des détournements d'argent public dans les années 90 à Saint-Fons. En tout cas, qu'elles soient fondées ou infondées - c'est la Justice qui devra trancher dans au moins une d'entre elles, la dernière - ces multiples accusations créent un sérieux malaise à Lyon. Le cabinet de Gérard Collomb ne cache pas qu'il a à tenir compte d'une situation de crise sans précédent.Jacques Boucaud - Le Progrès du mercredi 11 janvier 2006
allez, un autre pour la route....Les caprices de Collomb fatiguent la gauche lyonnaiselundi 23 janvier 2006 Le maire PS critiqué en public par ses alliés pour s'en être pris à la presse. Gérard Collomb vient de traverser un sérieux grain. Mis en cause dans plusieurs dossiers, le maire socialiste de Lyon a fini par se mettre en colère. Jusqu'à intervenir auprès d'institutions culturelles pour qu'elles cessent d'acheter des espaces publicitaires dans Lyon Capitale, un hebdomadaire qui le brocarde avec constance. Il se justifie en disant que la mairie maintient ce journal 'sous perfusion'. L'épisode fait tousser dans les milieux culturels et politiques. Certains élus et militants parlent de 'maladresse'. D'autres, d''erreur', de 'connerie'. Et le PS a pris publiquement ses distances.Liberté. La désunion à gauche s'est affichée le 20 décembre lors d'une soirée de soutien au journal privé de publicité (et aujourd'hui en redressement judiciaire). Les Verts et la LCR venaient de dénoncer l'attitude du maire, et des représentants de l'UMP étaient dans la salle. Un représentant de la fédération départementale du PS a alors pris la parole, pour ne pas laisser aux autres le monopole de la défense de la presse. 'Chez nous, a-t-il dit dans un grand silence, il y a ce que nous appelons la solidarité de parti. Nous y sommes très attachés. Mais lorsque la liberté d'expression se retrouve mise en cause, cette solidarité n'est plus de mise.' Christiane Demontès, sénatrice et première fédérale du PS dans le Rhône, avait sondé des élus et militants avant cette soirée. 'Il nous semblait important, dit-elle, que le PS rappelle que la démocratie va de pair avec la liberté de la presse. Lorsqu'on fait de la politique, il faut accepter la critique.' Certains socialistes ont hésité à aller plus loin, les Verts leur ayant proposé de signer un texte commun pour défendre Lyon Capitale. Ils ont négocié pour supprimer les attaques frontales contre le maire. Mais un écologiste a expédié le texte au cabinet du maire, qui est entré en fureur. Collomb a réclamé le soutien de ses troupes et menacé d'en appeler à François Hollande, voire de démissionner de son mandat si le PS ne se couchait pas. Une habitude, chez Gérard Collomb, qui met souvent sa démission dans la balance dès que ses décisions sont contestées. Si la droite s'en amuse, la gauche se lasse. Colères. Longtemps isolé au sein de son parti, le maire conserve des réflexes de solitaire. Depuis le début de son mandat, il se méfie de tous les élus d'envergure, et pique des colères qui terrorisent son entourage. 'Le premier cercle s'est restreint, dit un parlementaire du Rhône. Du coup, il se retrouve aujourd'hui assez mal conseillé.' 'On se pose des questions sur son entourage, poursuit Jean-Charles Kohlhaas, secrétaire départemental des Verts. À ce niveau de responsabilité, ce n'est pas possible qu'on lui laisse faire de telles erreurs.'Capitaine. Pour crever l'abcès, le maire a vu la première fédérale, il y a dix jours. En privé, il admet des erreurs, assume publiquement. 'Si toutes ces affaires posent des problèmes de fond, dit-il, je suis prêt à les poser devant une assemblée générale du PS. Pour ma part, j'ai la sensation qu'elles provoquent une réaction de rassemblement autour de moi. Peut-être parce que moi, je ne fais pas que parler. J'agis !' À gauche, certains estiment qu'il ne fallait pas se désolidariser publiquement du maire. Thierry Braillard, adjoint (PRG) aux sports, résume d'une métaphore footballistique : 'A la mi-temps de notre mandat, nous menons, estime-t-il. Ce n'est pas une raison pour commencer à marquer des buts contre notre camp. Gérard Collomb a peut-être commis une erreur. Mais il reste le capitaine, jusqu'à la 90e minute. Ses coéquipiers peuvent lui dire qu'il se trompe, mais dans le secret des vestiaires, pas devant tout le stade.' L'heure serait donc à l'apaisement. 'L'intérêt supérieur de la victoire doit prendre le dessus sur les ressentiments', résume Christiane Demontès. La majorité va tenter de resserrer les rangs autour de Gérard Collomb en espérant que la crise ne laissera pas de traces dans les urnes.Olivier Bertrand -Libération
on ne s'en lasse pas....Lyon Le maire n'a pas bonne pressejeudi 19 janvier 2006 Catherine Lagrange (à Lyon)Voilà une cérémonie dont Gérard Collomb se serait passé : celle des voeux à la presse. Le maire de Lyon est accusé par les journalistes de l'hebdomadaire Lyon Capitale d'avoir programmé, avec le nouvel actionnaire, Bruno Rousset, la mort de leur titre. Il reconnaît que, après des articles sur les marchés publics, il a fait interdire l'achat d'espaces à ce titre qui pèse depuis dix ans dans le paysage. Il reconnaît aussi avoir reçu le nouveau propriétaire pour parler de l'avenir du titre. Depuis, les fondateurs de l'hebdo ont été remerciés et le titre a déposé le bilan. Comment organiser, dans cette ambiance, les voeux à la presse le 13 janvier ? L'affaire prend en effet un tour politique : les socialistes et les Verts ont apporté leur soutien à Lyon Capitale. Collomb, lui, mise sur le temps : 'Dans deux mois, tout sera oublié.' Pas sûr. Le tribunal de commerce a prononcé la prolongation pour six mois de l'activité du titre. Lyon Capitale a donc reparu cette semaine. Avec un chiffre d'affaires publicitaire record !© le point 19/01/06 - N°1740 Catherine Lagrange Le Point
Les archives sont toujours savoureuses...Le maire de Lyon mis en cause par un deuxième journal localLa Monde, vendredi 06 janvier 2006 Après ceux de Lyon Capitale, les journalistes de La Tribune de Lyon ont décidé d'observer un mouvement de grève, pour s'opposer à une censure qui aurait été exercée par leurs propriétaires, des chefs d'entreprise lyonnais proches du maire socialiste de Lyon, Gérard Collomb. Au sein des deux rédactions, les journalistes dénoncent les pressions politiques dont ils ont été l'objet, à l'occasion de la publication d'articles mettant en cause le maire de Lyon. Celui-ci, s'il dément avoir fait pression pour faire limoger des journalistes, a reconnu avoir coupé les budgets publicitaires en faveur de Lyon Capitale. La Tribune de Lyon envisageait de publier un article sur l'audition, le 11 janvier, de M. Collomb par les policiers chargés d'une enquête sur des détournements de fonds des centres Léo-Lagrange, à Saint-Fons, et qui cherchent à savoir si le PS a pu bénéficier de financements occultes. Le patron du journal, Fernand Galula, ami personnel de M. Collomb, s'est formellement opposé à la publication de cet article, préparé par le rédacteur en chef adjoint, Fabrice Arfi. Quelques semaines auparavant, les journalistes avaient déjà dû batailler pour faire paraître un article annonçant des perquisitions menées dans les bureaux de la communauté urbaine par la direction générale de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF), chargée par le ministère de l'économie et des finances d'une enquête administrative sur le marché des parkings à Lyon. Sans en débattre en conférence de rédaction, M. Galula a en revanche décidé de programmer un entretien avec M. Collomb, lui envoyant à l'avance les questions par écrit.Sophie Landrin - Le Monde
Qui en veut encore ????? Promis, il y en a d'autres si on me plébiscite....L'archiviste
Le navire coule... Lyon Capitale ressort de vieilles archives de 2006 (mdr). C'est bien en 2008 que Gérard Collomb a été réélu dès le premier tour ? Lyon compte donc plus de 50 % d'illuminés et de naïfs ... malgré les informations calomnieuses et les saillies de tigres de papier aigris et haineux.
oh oui encore Sab ! c'est trop drôle... Finalement notre gégé n'a pas vraiment changé. Il en a d'autres ??? je me régale
2006... C'est bien à cette époque que Perben était garde des sceaux ?
L'épouse du maire de Lyon gifle un journaliste (21/03/2008)MUNICIPALES - La scène s'est déroulée ce vendredi après-midi, en marge du conseil municipal qui devait réélire à Lyon Gérard Collomb, grand vainqueur des municipales. La séance venait de commencer lorsque son épouse, Caroline, a giflé dans la cour d'honneur de l'Hôtel de ville un journaliste de l'hebdomadaire Lyon Capitale, qui avait publié des papiers lui déplaisant. La scène s'est déroulée devant des policiers municipaux médusés, et devant d'autres journalistes...Caroline Collomb et Raphaël Ruffier, rédacteur en chef à Lyon Capitale, se connaissent bien. Etudiants à la même période à Lyon II, ils militaient ensemble à l'Unef. Ces dernières années le journaliste avait publié des articles laissant entendre que certains marchés de l'agglomération lyonnaise étaient douteux. Son journal avait alors perdu des marchés publicitaires de la ville, le maire considérant que le travail était à charge. Puis le journaliste, à deux reprises, avait retranscris des propos tenus au cours de déjeuners dans lesquels le maire se laissait aller. En 2006 notamment, à La Rochelle, le couple Collomb y disait librement tout le mal qu'il pensait de certains des adjoints lyonnais.Avisant l'auteur des papiers, vendredi après-midi, l'épouse s'est approchée de lui pas derrière. Elle lui a d'abord écrasé le pied. Le journaliste s'est retourné, et la gifle est partie, sans un mot. Assez forte pour lui laisser la joue rouge. 'Je ne voulais pas lui faire mal, regrettait Caroline Collomb, cramoisie puis tremblante, juste après. Je voulais juste lui signifier tout le mal qu'il m'a fait. Mais lorsqu'il s'est retourné, c'est parti. Je regrette profondément.' Visiblement bouleversée, l'épouse n'a même pas assisté à l'intronisation de son mari. Elle est restée un moment seule, dans un couloir de service de la mairie. Raphaël Ruffier, pour sa part, est rentré immédiatement à sa rédaction, secoué par l'épisode. Le journaliste envisageait dans un premier temps de porter plainte contre la femme du maire. Puis, alors que le conseil municipal élisait les adjoints de Gérard Collomb, les deux protagonistes se sont expliqués entre quatre yeux dans les bureaux de Lyon Capitale. Histoire de calmer les esprits. A.GdLIbération
Ok un dernier pour la route Le Canard Enchaîné Mercredi 04 janvier 2006Un journal victime d'une crise de maireNi galette des Rois des retraités ni bal des catherinettes : 'Lyon Capitale', pour un journal local, s'intéressait plutôt à la culture. Mais, du haut de ses modestes 15 000 exemplaires, cet hebdo impertinent n'hésitait pas parfois à humer les arrières-cuisines politiques lyonnaises, à mettre son grain de sable dans des engrenages bien huilés : l'alliance entre Charles Millon et le Front national, le job offert par Raymond Barre au bras droit de Michel Giraud, président de la Région Ile-de-France, au moment où les juges fouillaient les dossiers des lycées franciliens, et, plus récemment, les marchés passés par l'actuel maire socialiste de Lyon, Gérard Collomb. Une curiosité que le maire a interprétée comme une manoeuvre inspirée par le candidat de droite à sa succession, Dominique Perben, ministre des Transports. Dernier incident, 'Lyon Cap' publiait, début octobre, les confidences d'un ancien proche de Collomb chargé des appels d'offres publics qui dénonçait des 'marchés pipés' dans son dos. C'en était trop. La Ville s'abstient alors de toute pub dans le journal, soit un manque à gagner de 100 000 euros. Les nombreux organismes culturels subventionnés par la mairie et la communauté urbaine sont invités à en faire autant, ainsi que les patrons des grandes sociétés lyonnaises. Loin de nier, Collomb revendique cette action de salubrité. Le 13 décembre, 'Lyon Capitale' consacrait sa une à la perquisition menée par la PJ dans le bureau de Collomb et au siège de plusieurs grandes sociétés. Ce fut son dernier numéro. Depuis, le nouveau propriétaire (qui a racheté le titre au 'Progrès' en juillet dernier) a viré le pédégé fondateur ainsi que le rédacteur en chef, et l'ensemble de la rédaction est menacé de se retrouver à l'ANPE. Ces naïfs ont cru que leur journal pouvait être indépendant politiquement alors qu'il dépendait financièrement d'une collectivité locale. Le maire de Lyon n'aime Guignol que lorsqu'il reste une marionnette.Alain Guédé - Le Canard Enchaîné
Gérard Collomb fait mieux que les caricatures de Sarkozy...
Ben merde, si jérôme Mannin me grille dans mon job d'archiviste....
La Lumière faiblit...
Du coup, Le Monde, Le Canard Enchaîné, Libé et Le point sont devenus des journaux calomnieux au même titre que Lyon capitale... La Lumière, elle, s'est carrément éteinte...
@Sab. Je suis toujours prêt à faire la claque. l'anarchivisme vaincra 😉
Très heureux d'avoir mobilisé toute la rédaction...23/04/2008 - LIBERATIONMÉDIAS – Les journaux lyonnais sont sur Latouche. Ou plutôt l’inverse. Christian Latouche, pdg du groupe Fiducial, livre depuis plusieurs mois bataille avec la direction du mensuel Lyon Mag pour en devenir l’actionnaire majoritaire. Parallèlement, il devrait devenir dans les jours qui viennent le nouveau propriétaire de l’hebdomadaire Lyon Capitale… `Le tribunal de commerce doit se prononcer d’ici jeudi sur le sort de Lyon Capitale. Mais celui-ci ne fait guère de doute. L’hebdomadaire est en redressement judiciaire depuis le mois de janvier. Et Christian Latouche s’est porté candidat pour un plan de continuation. Une offre qui devrait être logiquement validée par le tribunal de commerce. Christian Latouche prendra la suite de Xavier Ellie. Cet ancien patron du Progrès avait racheté Lyon Capitale en mars 2006. Il a investi dans le site internet du journal, mais n’a redressé l’édition papier. Depuis 2005, l’hebdomadaire lyonnais enchaîne les périodes de fortes turbulences. Si la cession est confirmée, Christian Latouche sera le troisième patron du journal en trois ans. « Nous ne savons pas quelles sont ses intentions. Mais il s’est engagé à conserver la rédaction. Nous attendons pour voir », explique un journaliste de l’hebdomadaire. Voir, et surtout essayer de comprendre ce qui motive ce très riche, très discret et très très droitier patron à placer ses billes sur les journaux lyonnais, et principalement sur ses deux historiques frères ennemis, Lyon Capitale et Lyon Mag. La rumeur lui prêtait aussi des actions dans l'hebdomadaire Tribune de Lyon, ce que dément formellement son directeur de la publication François Sapy.Le 'prêt' à Lyon MagPour Lyon Mag la stratégie de Christian Latouche est plus complexe. Actionnaire minoritaire du journal (comme d’autres chefs d’entreprises lyonnais), il a proposé il y a un an un prêt de 500000 euros au mensuel, pour éponger son déficit, avec une caution dite de nantissement. Ce qui signifie qu’il peut se faire rembourser sa créance sous forme d’actions, et donc devenir ainsi majoritaire. Le piège se referme en novembre, lorsqu’il demande sous huitaine ce remboursement. Le journal ne peut pas, et ne veut pas payer. Redoutant que Christian Latouche prenne le contrôle du journal. Philippe Brunet-Lecomte, pdg de Lyon Mag multiplie depuis les procédures judiciaires pour empêcher cette issue, fatale selon lui pour Lyon Mag. Le tribunal de commerce doit se prononcer sur le fond du dossier dans quelques semaines.Latouche au congrès du MNR Les deux journaux réagissent différemment à l’arrivée en force de Christian Latouche. Alors que Philippe Brunet-Lecomte n’a de cesse de dénoncer l’OPA hostile du pdg de Fiducial sur son journal, les « Lyon Cap’ », usés par trois années de sursis permanent, et suspendus à la décision imminente du tribunal, demeurent pour l’instant plus attentistes. Tous savent pourtant une chose depuis longtemps : Christian Latouche n’a guère un profil politique compatible avec leurs lignes éditoriales respectives. Le pdg de Fiducial, n’est pas seulement la 79è fortune française (selon le magazine Challenges), il n’est pas seulement l’entrepreneur parti de rien pour arriver aujourd’hui à la tête d’un empire de 14000 salariés qui frise les deux milliards d’euros, en proposant des solutions informatiques comptables aux PME. Très discret jusqu’ici, Christian Latouche s’était fait remarqué en intervenant en 2003 lors d’un congrès du MNR (feu le parti de Bruno Mégret). Ou encore en 2004, alors qu’il s’adressait en 2004 aux patrons de la CGPME (ses clients) dans un discours particulièrement salé où il s’inquiétait de la situation des « Français de souche » et de « cette France qui a peur », « peur d’aller dans le métro », « peur de laisser sa voiture dans un parking », « peur de l’islam fondamentaliste », etc. Il semblerait qu’aujourd’hui, les journalistes aussi, aient un peu peur. De leur nouveau patron.A.Gd.
Site du MNR :Rentrée politique A l'issue de cette intervention, le MNR a accueilli un intervenant extérieur en la personne de Christian Latouche, PDG d'une grande entreprise française, qui a évoqué la situation économique et sociale de la France en soulignant à quel point le gouvernement UMP se révélait incapable de rompre avec l'économie socialisée. C'est ensuite Annick Martin qui a pris le micro pour rappeler combien il était indispensable que le MNR soit présent aux élections du printemps prochain. Il en va en effet de la survie politique de notre mouvement mais aussi et surtout de l'avenir de notre combat qui exige une véritable relève à droite.Et, tout naturellement, il revenait à Bruno Mégret de clôturer les travaux et de faire la synthèse. Au cours d'un long exposé particulièrement apprécié et applaudi, le président du MNR a dressé le bilan de la situation politique, soulignant l'échec idéologique de la gauche et l'incapacité de l'UMP à en finir avec le politiquement correct.
'Appel de Lyon Mag pour faire barrage à Latouche'Vendredi à 12h30, les journalistes de Lyon Mag organisent un sit-in devant le siège du groupe Fiducial à Vaise (38 rue Sergent Michel Berthet, Lyon 9e), en invitant tous ceux qui le souhaitent à se joindre à eux.“La cour d’appel de Lyon vient de refuser ce mercredi 9 juillet 2008 de suspendre la décision de justice en date du 27 mars dernier qui ordonnait le transfert des actions de Philippe Brunet-Lecomte, pdg de Lyon Mag, à Christian Latouche, le pdg de Fiducial.Une décision particulièrement surprenante car de nombreuses procédures judiciaires sont en cours dans le cadre de ce conflit qui oppose depuis 8 mois Christian Latouche à l’équipe de Lyon Mag dont le seul objectif est de défendre son indépendance.Théoriquement donc, Christian Latouche peut devenir patron de Lyon Mag comme il s’en vante depuis plusieurs mois. Mais Lyon Mag vient d’engager une nouvelle procédure devant le tribunal de commerce de Lyon pour bloquer cette décision qui, si elle était mise en œuvre, aurait des conséquences irréparables pour l’avenir de ce magazine et du pluralisme de la presse à Lyon. Car cette prise de contrôle hostile provoquerait une rupture dans la ligne rédactionnelle de Lyon Mag. D’ailleurs, l’ensemble de l’équipe a décidé de faire jouer la clause de conscience pour créer un nouveau magazine si cette décision était exécutée.Cet arrêt de la cour d’appel est d’autant plus incompréhensible que le pdg de Lyon Mag vient de proposer à Christian Latouche un chèque de 449 163 euros pour lui rembourser le prêt qu’il avait consenti à Lyon Mag au cours de l’été dernier. Prêt qui est à l’origine de toute l’action judiciaire engagée par le pdg de Fiducial pour tenter de prendre le contrôle de Lyon Mag. D’ailleurs, dans une lettre ouverte, quatre élus Modem, PS, UMP et Vert viennent d’interpeller Christian Latouche pour qu’il accepte ce chèque et qu’il mette un terme à cette tentative de prise de contrôle que refusent les fondateurs, les journalistes, les salariés et les autres actionnaires de Lyon Mag. Mais aussi les lecteurs dont plusieurs milliers ont déjà signé une pétition de soutien à l'indépendance de Lyon Mag.Le combat continue donc pour l’équipe de Lyon Mag qui, plus que jamais, est décidée à ne pas baisser les bras contre cette agression économique qui, aujourd’hui, apparaît clairement motivée par des objectifs politiques. Christian Latouche étant un proche de la droite-extrême, lui-même ayant été associé aux travaux de “réflexion” du Front National.Voilà pourquoi l’équipe de Lyon Mag lance un appel à la mobilisation de ses lecteurs, de ses actionnaires et de ses amis, mais aussi aux élus et aux décideurs lyonnais pour faire barrage à Christian Latouche.Vendredi à 12h30, les journalistes de Lyon Mag organisent un sit-in devant le siège du groupe Fiducial à Vaise (38 rue Sergent Michel Berthet, Lyon 9e), en invitant tous ceux qui le souhaitent à se joindre à eux. Manifestation qui sera l’occasion d’une conférence de presse annonçant une décision importante pour l’avenir de Lyon Mag.”
Site d'ACRIMEDConcentration dans la presse lyonnaisePublié le 15 mai 2008 par Amir Si LarbiLes problèmes de trésorerie que rencontrent l’hebdomadaire LyonCapitale et le mensuel LyonMag attisent l’appétit de Christian Latouche, homme d’affaires lyonnais. Si l’acquisition de l’hebdomadaire est désormais effective, le contrôle du mensuel se fait attendre… mais sans doute plus pour très longtemps.Les difficultés des entreprises de presse sont marquées par une financiarisation croissante du secteur et par une dépendance de plus en plus marquée et revendiquée à l’égard des ressources publicitaires. La presse lyonnaise ne prétendant pas à l’exception se voit menacée par les désormais inévitables « déséquilibres budgétaires » qui sont très souvent à l’origine d’une recapitalisation, affermissant in fine le contrôle des actionnaires ainsi que la mise au pas des rédactions, parfois revendiquée par les nouveaux propriétaires, et trop souvent intériorisée par de nombreux journalistes.Les ennuis comptables de l’hebdomadaire Lyon Capitale et du mensuel Lyonmag qui ont éveille l’appétit d’appropriation d’un homme d’affaires lyonnais médiatiquement discret en la personne de Christian Latouche en sont des illustrations symptomatiques.Latouche à droite touteChristinan Latouche, 79ème fortune française selon le magazine Challenge, est un PDG peu connu du grand public. Sa richesse, il la doit à « son » groupe Fiducial dont il a jeté les bases en 1970. [1]Bien que peu visible, Christian Latouche n’est pas pour autant taiseux et sait se faire le porte voix décomplexé des « français de souche », « de la France qui a peur d’aller dans le métro », « peur de laisser sa voiture dans un parking » [2] et autres préoccupations éminemment progressistes, doctement déclinées lors d’un meeting du glorieux MNR (Mouvement National Républicain), présidé par Bruno Mégret l’ex bras droit de Jean Marie Le Pen.
'Lyon chez Moi'A ce jour, Christian Latouche maintes fois sollicité n’a toujours pas souhaité s’exprimer et reste donc très discret sur ses projets dans la presse locale. Des vidéos visibles sur le Net révèlent toutefois quelques éléments de sa personnalité. Lors d’un congrès réunissant plusieurs patrons de PME, Christian Latouche étaye avec ferveur plusieurs des thèmes favoris de l’extrême droite, s’inquiétant notamment de la situation des « Français de souche ». Une autre vidéo le montre à la tribune à l’occasion de l’université d’été du MNR (parti de Bruno Mégret). Aujourd’hui, les journalistes de l’hebdomadaire lyonnais affirment avoir eu les garanties de leur indépendance, indispensable pour que leur journal reste celui, comme le dit leur sous-titre, celui « des esprits libres ».
Ah ben du coup l'emploi fictif du cabinet s'est réveillé !
@ Sab : encore de la diffamation, les pages du journal et le site internet ne vous suffisent plus ? Vous vous attaquez aux commentaires...
Oui il s'est réveillé et on va l'aider un peu : Collomb Rivalta gentils socialistes humanistes; Lyon Cap méchants journalistes fascistes. Ils passent leur temps sur le site à la mairie ou quoi ? Mais que fait la police ? Une perquise ! Une perquise ! Une perquise ! Tous ensemble tous ensemble ouais ouais !!!
@Sab. Il n'y en a pas qu'un... Le prochain conseil municipal va traiter le cas des écrêtements. (ces élus qui touchent plus de 8200 €, et reversent le surplus - Un autre salaire de 8200 par exemple pour le maire de Lyon - à des 'amis en échange de services politiques), cela s'apparente en effet furieusement à un emploi fictif, si l'on connait le nom de Lumière, on a la réponse.Lumière réponds à une remarque sur une action concrète de Collomb par des rumeurs et de la haine envers l'actionnaire majoritaire de Lyon Capitale... Là où nous mettons en exergue une attitude peu fine de Collomb, elle l'enterre définitivement en prouvant que cette censure n'est pas une erreur, mais un mode de fonctionnement profond. Bref, avec Lumière Collomb n'a pas besoin d'ennemis.
'Une perquise ! Une perquise ! Une perquise ! ' Oui, et la prochaine étape c'est quoi ? Le passage à tabac, la création d'une milice, les lettres anonymes ? J'espère ne pas vous avoir donné d'idées.Je ne comprends pas pourquoi vous perdez tout à coup votre sang froid...Je n'ai fait que rapporter des articles diffusés il y a moins de 2 ans dans la presse nationale et locale. Pourquoi tant d'agitation ?'rumeurs et de la haine envers l'actionnaire majoritaire de Lyon Capitale' Vous devriez écrire à tous ces journaux qui sont habités par le malin...
Oui la tentative de diversion des sbires du maire en disent long sur le désir de masquer le vrai sujet : Ici on cause de corruption et de censure concernant la deuxième ville de France !!!! Merci aux journalistes de Lyon Cap de rester d'éternels esprits libres !
@Lumière. On peut difficilement plus mal porter son pseudo. Vous parlez de perdre votre sang froid, oui bel exemple, mais à votre décharge il n'est pas aisé de défendre l'indéfendable même avec des méthodes d'un autre âge.
Censure ? Ah vous maitrisez mal les termes que vous employez. La censure se manifeste, par exemple par la suppression de commentaires, de comptes ... ( ne pas y voir une allusion avec un site d'info lyonnais ).
Défendre une censure notoire et publique avec comme seul argument prétendre être censuré et sans preuve... Vous n'avez vraiment peur de rien, à ce niveau c'est de l'art !
Ben vouloir faire disparaître deux journaux, Lyon cap et Tribune de Lyon plutôt marqués à gauche (cf les articles de l'époque) c'est pas de la censure ?
Collomb le parrain et son 1er adjoint devant les tribunaux sans un mot dans la presse, étrange, non ? http://albandupont.over-blog.com/ D'autant que M. Touraine serait encore dans une sombre affaire de faux dépôts de plainte au commissariat de villeurbanne pour tenter de camoufler les comportements de sa femme. D'ailleurs, travaillerait-elle pour une association ou une fondation dont son mari serait un membre influent ? Au travail les journalistes indépendants !
Je vous site @Lumière: Post du 02/0702010 à 16:28'peur d'aller dans le métro' 'La peur de laisser sa voiture dans un parking' 'peur de l'islam fondamentaliste'Il me s'emblerai de votre part que vous ne sachiez pas que sur l'arbre de l'échiquier politique Français, il y ait des branches aussi du côté Gauche. Que faites-vous des élus dont un du Grand Lyon, ex maire mais encore député qui à dit les mêmes mots à quelques variante prèt ?Vous devriez mettre un peu plus de lumière chez vous avant d'écrire des choses qui ne tienne pas. 95% des élus si ce n'est pas plus de ce pays pense pareillement.Bonne lecture, LUMIERE.
Lyonnais parle au nom de 95% des élus. Toutes mes félicitations pour le mandat que vous avez reçu Patrick met carrément des liens sur le site de son patron. BravoQuand a VirtualManin le podium encore cette fois ci. Qui fait son feignant habituel en ne prenant même pas la peine de consulter les textes sur l écrêtement. Quelle loose !
M. Touraine fait partie des élus qui écrêtent et verse des émoluments à certains blogueurs. (L'information est publique et sera traitée lors du prochain conseil municipal). La censure de Collomb va-t-elle empêcher les blogueurs rémunérés de venir déverser leurs insultes sur Lyon Capitale ? Ce serait amusant.
Manin, on y parlera également des écrêtements versés par Havard. Corruption ? Voudrais-t-on parler de l'affaire où trois militants de droite ont été été entendus par la justice concenant le Rh^ne-express.
Ceci dit quel dommage que les commentaires de ce site (j'y participe aussi ceci dit) ne soit que polémiques et bisbilles politiciennes. C'est saoulant.
Havard est loin d'être un cumulard patenté mais s'il est dans le dispositif de l'écretage comme M. Collomb, M. Touraine ou Mme Guillaume, c'est à l'ordre du jour du même conseil municipal. Pourquoi évoquer la corruption avez-vous des choses à nous apprendre au-delà des allusions nauséabondes ? Que l'écretage soit un proche parent de l'emploi fictif, c'est une question qui mérite le débat, à droite comme à gauche... Malheureusement le débat n'est pas votre fort et votre patron vient de donner un exemple navrant en faisant de la censure un axe de gouvernance, c'est même le sujet de l'article dont vous essayer assez tristement encore une fois de nous détourné.
@jm calther. Vous vous saouler vous même ! Quel talent. J'espère que cela vous permet d'oublier les agissements grotesque du politicard que vous défendez fanatiquement.
@manin encore une fois non il n'y a pas de vilain complot de Collomb et de la secte Moon pour vous répondre sur un forum. Souffrez qu'on ai pas les mêmes opinions que vous en démocratie et qu'on puisse ni aduler Borloo ni Levy ni vous-même. Je suis un individu plutôt de gauche il est vrai mais qui a a quelques reprises voté ailleurs. J'ai juste le goût du débat de fond et la lassitude des aspects politiciens. J'espère aussi que Collomb et Lyon Cap se rabibocheront de nouveau, comme cela s'est fait avant.
@jm calther. Arriverez-vous à sortir de cette théorie du complot chère à une certaine gauche ? Rien ne vous interdit de vous modérer, c'est tout de même plus élégant que la censure.
Touraine s'en fout de la morale, sauf quand c'est bon pour l'image. Son programme politique défendre les minorités et mépriser le peuple. Ah le bel humaniste que voilà ! Il écrête un bloggeur et use du véhicule de la Ville de Lyon à titre privé, ... Quand de sérieux journalistes indépendants se pencheront sur son cas, que découvrirons-nous, que sa femme ou autres proches seraient indemnisés par une fondation ou association dont M. Touraine aurait des liens ou serait membre influent ?
En tout cas, on a bien compris qu'il faut plaire au sénateur-maire, le critiquer un peu pour donner le gage d'une presse libre et indépendante et cacher ce qui serait certainement très gênant, voire condamnable, pour avoir des contrats publicitaires avec la ville de Lyon ou le Grand Lyon... En gros je paye donc tais-toi... Démocratie vous avez dit ! ! !
D'accord avec Sybertarien ! Et ils sont où les commentateurs 'anti extrême droite' et 'anti-anti-intellectuels'??? Ils font pas d'heures sup ? Ils écrivent seulement de leur bureau douillet pendant les heures ouvrables ? Stop aux emplois fictifs grassement payés par les contribuables ! Je suis scandalisé par l'attitude de Gérard Collomb qui sur son blog ose défendre 'la liberté de la presse' en convoquant Camus. Quelle hypocrisie ! Quelle mascarade ! Quelle honte ! 'Faites ce que je dis et ne faites pas ce que je fais' en résumé. Cet agrégé de lettres (si si)devrait relire Camus plus attentivement et ne pas se contenter de faire des copiés collés sur Wikipédia. Je lui conseille 'La chute'. Peut-être sera-t-il à son tour 'juge-pénitent' et se châtiera-t-il lui-même de ne pas avoir sauvé ce qui devait l'être... On peut toujours rêver. On assiste en fait à la fin d'un cycle : 'Les Noces', puis 'Le mythe de Sisyphe' et enfin 'La chute'. Mais depuis, il a dû oublier tout cela. A mon avis il lit trop Saint-Simon. Ca doit être ça.
@ Manin, chiffon rouge, et autres créatures du marigot LyonCapitale.fr : Je suis profondément désolé que vous ne vous soyez encore aperçu que je n'ai pas pour habitude de répondre aux interventions basses, aux propos calomnieux ou aux tirades diffamatoire. En revanche, j'ai à cœur d'informer les internautes lyonnais de la marge de liberté dont peut disposer une rédaction qui se rêve en 'Canard Enchaîne du Grand Lyon', en 'Stéphane Guillon' de la capitale des gaules et qui n'en n'a ni l'indépendance et encore moins le talent. 14h05, un samedi... oui bien sûr je suis probablement payé par je ne sais quel fond occulte né de vos (trop nombreux) fantasmes et attisé par vos quotidiennes aigreurs.Malgré tout, je me réjouis que vous utilisiez ce site Internet pour faire de Gérard Collomb le responsable de tous les maux qui vous accablent. Certains sombrent dans l'alccol, la drogue, la violence...Vous, vous passez vos journées sur lyoncapitale.fr, c'est peut-être plutôt positif pour la société finalement.
Lyoncapitale.fr offre un espace de liberté aux internautes. Veuillez néanmoins échanger dans le respect des autres et du site.
Ah quand même ! Lumière ! Il était temps ! On lui met un chiffon rouge devant, il fonce tête baissée tel le taureau dans l'arène. Allez, bon week-end va. Et essayez un peu de sourire à la vie mon cher. Parce que là vous êtes ridicule.
Ah le niveau de discussion change pas.
Joli blog jm calther : http://www.lepost.fr/perso/jmcalther Le Blachier du pauvre...
Manin, 'Blachier du pauvre' ça veut dire quoi ? Pauvre c'est pas une insulte j'espère, comme t'as pas un rond devant toi
La gestion de la communication, par la ville de Lyon, est vraiment au point !Non vraiment rien à dire ! A l'extérieur, le boss plaide pour la liberté d'expression de la presse et en interne, c'est le clientélisme façon bac à sable...mdr'Ils' ne sont pas a une contradiction près ! Signer une charte avec la HALDE, pour lutter contre la discrimination et la laisser se développer en interne !Sinon 'SAB' vos informations sont très intéressantes ! Vous en avez d'autres ?Un rafraichissement de mémoire est toujours positif !