Jeudi 23 juin, le Lyon Street Food Festival a rouvert ses portes pour une sixième édition. Lyon Capitale était sur place pour découvrir les nouveautés de cette année.
Le festival culinaire est devenu un des rendez-vous phares de la cuisine à Lyon. Cette année nous nous sommes retrouvés aux anciennes usines Fagor Brandt dans le 7e arrondissement. Cet espace immense abritait 3 hangars et une grande cour.
Le premier hangar (le plus grand) était réellement le cœur du lieu. Les spectateurs pouvaient y trouver tous les coins culinaires salés et en particulier les stands autour du monde asiatique, portugais et basque. De grandes institutions comme celle de Bocuse ou de Thierry Marx se sont prêtés au jeu de la street food également – on vous laisse la surprise. La street food n’est pas seulement de la cuisine. C’est également une culture populaire et artistique à part entière. Pour cela, un espace est dédié à l’art et à l’expression. Pour l’ouverture des initiations à la trottinette avaient été prévues, et également des lives paintings. D’autres activités artistiques étaient encadrées par des associations.
Le deuxième hangar est dédié au dessert et au sucre. Les portions y sont généreuses, presque autant que les salés. Puis, la scène du Lyon Street Food se cache dans le troisième hangar, afin que le public digère au rythme de la programmation électronique.
Tous les espaces sont occupés de longues tablées pour favoriser la convivialité. Ce qui laisse toujours la possibilité de demander à son voisin pour quel stand a-t-il craqué. Côté rédaction, Lyon Capitale a eu plusieurs coups de cœur : le burger revisité de Paul Bocuse, le cap'tain Haddock siphonné de Mathieu Viannay, les arancini de Denny Imbroisi et le burger sucré de Sébastien Bouillet.