En décembre les syndicats d'éleveurs de la région Auvergne-Rhône-Alpes avaient boycotté la réunion de présentation du "plan loup" 2018-2023 dans les salons préfectoraux de Lyon. Plan qu'ils jugent insuffisant pour protéger les troupeaux.
La machine à lisser macronienne se serait-elle enrayée. Ce vendredi, la députée En Marche Alice Thurot est montée au créneau contre le numéro 3 du gouvernement d'Emmanuel Macron, le ministre de la Transition écologique et solidaire, Nicolas Hulot. Le tout sur un dossier qui soulève la grogne des éleveurs de la région Auvergne-Rhône-Alpes, la mise ne place du "plan loup" 2018-2023.
La néo-députée, issue de la société civile et élue sur la circonscription, plutôt urbaine, de Montélimar, a relayé les revendications des éleveurs de la région. "Je lui soumets leur invitation à venir visiter notre beau département, et mieux, à venir garder un troupeau une nuit contre les loups, a-t-elle déclarée à l'attention de Nicolas Hulot, pour France Bleu. A présent, la menace du loup oblige les éleveurs et leur famille à veiller nuit et jour pour défendre leurs troupeaux sans une prise en compte totale de cet effort. Familialement et humainement cette situation est vécue comme une forme de harcèlement par nos éleveurs. "
Le "plan loup" est très décrié en Auvergne-Rhône-Alpes, où les éleveurs ont boycotté la réunion de présentation du dispositif en préfecture, le 12 décembre dernier. On se souvient également des images des brebis défilants dans les rues de Lyon lors de la manifestation du mois d'octobre.
Suffirait peut-être d'introduire des tigres pour qu'ils avalent les loups en trop. Puis, si ces tigres s'attaquent aux troupeaux, on donnerait à nos chasseurs l'occasion de pratiquer la chasse au tigre. Tout le monde serait content, et la majorité, qui est si utile au pays, à l'Europe et à mon dentier...je voulais dire au monde entier !, n'aurait plus besoin de se déchirer. La vie serait belle
Qu'est ce que cette société où les éleveurs ne peuvent plus défendre leur outil de travail contre des prédateurs qui avaient disparus réintroduits par décision de bobos qui vivent à des lieus grassement rémunérés par nos impôts ,protégés par la force publique prétextant l'équilibre de la nature qu'ils ne connaissent qu'à travers les reportages TV. Soutien inconditionnel aux éleveurs.