Mais que s’est-il donc passé durant le long sommeil de la Belle au bois dormant ? Réponse dansée ce soir au théâtre Théo-Argence.
Cent ans de sommeil et un passage de l’enfance à l’âge adulte, c’est ce que nous racontent Bérengère Fournier et Samuel Faccioli, de la compagnie clermontoise La Vouivre, dans leur nouvelle création, La Belle. Un spectacle dansé sans paroles qui, bien loin du conte de Grimm, se penche sur les rêves de la princesse. On découvre alors une Belle au bois dormant peu conventionnelle, aux cheveux courts, tiraillée entre deux princes charmants.