Il dénonce " un impôt révolutionnaire " prélevé sur les entreprises de la métallurige par l'UIMM. Il demande que toute la lumière soit faite sur les 600 millions de cette caisse noire et propose que le reliquat soit reversé aux salariés de la méttallurige. Enfin, il s'inscrit en faux contre la suspicion de corruption passive distillé par les propos de Denis Gauthier-Sauvagnac, ces sommes auraient servi à " fuidifier le relations sociales ". Il dénonce au contraire des pratique patronales occultes: monter des " syndicats jaunes " payer des 'barbouzes " pour déstabiliser des mouvements syndicaux. Bernard Thibault reprend l'offensive vis à vis du patronnat.
Thibault contre-attaque
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