L'association One Voice organise un rassemblement pour la défense des loups place Saint-Jean samedi 15 mai à Lyon, dans le cadre d'une action coordonnée nationale.
Ils demandent "du respect pour les loups". Les militants de l'association One Voice invitent à un rassemblement pour la défense de cet animal samedi 15 mai à Lyon. Ce rassemblement s'inscrit dans une action nationale de l'association avec des manifestations prévues dans plusieurs villes de France. À Lyon, le rendez-vous est donné place Saint-Jean à 13h30.
"Nous réclamons que nos dirigeants cessent de faire des entorses régulières à la réglementation internationale sur les espèces menacées et interdisent définitivement de nouveaux abattages [de loups]", affirment-ils, pour mot d'ordre de ce rassemblement.
Un loup aurait été aperçu au mois d'avril dernier dans le département du Rhône, le premier depuis un siècle. L'Office français de la biodiversité n'a cependant pas conclu à une implantation durable de celui-ci.
L’espèce n'est absolument pas menacée. Elle est classée préoccupation mineure sur la liste rouge de l'IUCN
En conclusion de cette affaire, aux souffrances atroces qui peuvent et doivent être épargnées aux hommes comme aux animaux, nous pouvons dire que n’importe qui peut se réjouir à l’idée que le mythique loup vive libre, à coté de nous ....
Que le loup vive ! oui, au milieu de ses proies sauvages à chasser, en agissant pleinement selon sa nature. Mais bien loin des humbles brebis, parce que, quand il est à son tour dévoré par les affres de la faim, il est obligé de se transformer de merveilleux chasseur en misérable cambrioleur assassin qui pénètre dans les espaces où sont enfermées ses victimes, et - célébrant son rite de tuerie - il en vi-vi-sec-tion-ne des dizaines, dans le sens qu’il les dévore encore vivantes, sous les yeux des compagnes terrifiées qui ne peuvent s’enfuir.
Et il n’y a pas de réparations pour le dommage, la douleur et le stress des humains et des animaux, et pas non plus de dissuadeurs (rapidement ridiculisés par l’intelligence des prédateurs), de chiens de troupeau (dévorés) ou d’enclos avec des treillis soudés (franchis en creusant sous les bordures de béton enterrées) qui tiennent. L’impossible projet, sur ces terres, n’aurait même pas dû être une hypothèse, si sa faisabilité avait été évaluée avec une approche réaliste et une responsabilité de compétences.