Son directeur dans le Rhône, Loïc Rigaud, voit dans ces interdictions une discrimination déguisée. " Cette interdiction empêche les personnes de confession religieuse ou autre qui portent des foulards ou des chapeaux à rentrer dans cet établissement. C'est pour nous un critère illégal dans la loi " a réagit le responsable de SOS racisme à Lyon, dans l'après-midi. Hier, l'avocat maître André Vianes, qui avait rejoint l'équipe de Perben lors des dernières élections municipales, avait déclaré que " ces interdictions rentrent dans un règlement intérieur. Ce sont des règles claires qui ne visent pas une catégorie de personnes mais des tenues vestimentaires. Il n'y a ici aucune discrimination ". De son côté, le gérant du bowling n'a pas souhaité nous répondre.
" Une discrimination indirecte "
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