Plusieurs milliers de manifestants se sont réunis samedi 28 août à Lyon pour protester contre le pass sanitaire. Il s'agit du 7ème week-end de mobilisation.
Les rangs des anti-pass sanitaire lyonnais ont légèrement grossi depuis le 21 août, date de la dernière manifestation. Selon la préfecture, ils étaient environ 3000 à défiler aujourd'hui contre le pass sanitaire. Les manifestants étaient divisés en deux cortèges, un premier, déclaré, entre l'hôpital Edouard Herriot et Bellecour, et un deuxième qui a débuté place Sathonay.
Si les manifestations ont débuté autour de 14 heures, les opposants au pass ont battu le pavé toute l'après-midi jusqu'au soir. À 18 heures 30, une centaine de personne rassemblées place Carnot ont quitté la place. Une personne a été interpellée. À plusieurs reprises, les forces de l'ordre ont fait usage de gaz lacrymogènes et les manifestants ont jeté des projectiles.
Deux points de rendez-vous
Comme chaque samedi de mobilisation contre le pass sanitaire à Lyon, les manifestants avaient le choix entre deux manifestations. L'une était déclarée, et l'autre non. Mais contrairement aux semaines précédentes, cette division ne repose pas sur des divergences politiques (comme nous vous l'expliquions dans cet article).
À l'appel des syndicats Sud et FO, les membres du personnel hospitalier se sont réunis à 13 h 30 devant l’hôpital Edouard-Herriot et se sont dirigés par la place Bellecour. Une partie d'entre eux a rejoint plus tard dans l'après-midi la manifestation qui avait été appelée place Sathonay à 14 heures, plutôt à l'initiative de groupes de gauche et d'extrême-gauche, même s'il n'y avait pas d'organisateurs officiels de cette seconde manifestation.
Un long parcours dans les rues de Lyon
Après le départ place Sathonay, le cortège de la manifestation non déclarée s'est engagé dans les rues de la presqu'île, en direction des Terreaux avant de rejoindre le pont Lafayette. Les manifestants se rapprochés de la préfecture, où ont eu lieu des premières tensions avec les forces de l'ordre. Les manifestants ont été noyés dans les lacrymogènes suite à des lancers de projectiles. Les opposants au pass sanitaire ont ensuite poussé jusqu'à la gare de la Part-Dieu vers 16 heures, avant de tenter de rejoindre à nouveau la Presqu'Île par le pont Lafayette, mais ont été repoussé par les CRS.
Une partie de chaque manifestation s'est rejoint aux 24 colonnes dans le 5ème arrondissement un peu après 17 heures. Environ 400 d'entres eux, selon la préfecture, ont ensuite fait chemin ensemble sur le pont Bonaparte et ont emprunté la rue Boissac en direction de Victor Hugo. Des tensions sont survenues entre les forces de l'ordre et les manifestants à l'angle des rues Boissac et Sala, et du gaz lacrymogène a été envoyé par les forces de l'ordre pour disperser le cortège. Les manifestants ont continué leur chemin jusqu'à la place Carnot, où s'est terminée la manifestation.
oui une grande promenade entre potes pour se bourrer le crane et se convaincre qu'ils ont raison
et pour le bonheur d'embeter le monde
quelleethique les personnelssoignants non vaccines
les manifestants reclament la liberté de distribuer et renforcer la covid???
Comme déjà dit et redit :
1 - le pass sanitaire n'empêche pas d'être contaminé, de contaminer les autres, de tomber malade, et de décéder.
2 - les gestes barrières et leur rigueur d'application, sont un bon moyen d'arrêter le virus, mais hélas ça ne fait pas partie de la "gestion de la pandémie par le gouvernement" qui préfère user de la bonne vieille méthode de "la peur" au lieu d'élever le niveau de connaissances.
3 - le personnel soignant n'est pas mono-bloc, et le principal souci sur lequel devrait se pencher "l'état" au sens large, c'est la filtration de l'air dans les écoles (pour le virus et les polluants), vu que le produit injecté n'empêche pas le virus de circuler. Or, ce n'est pas fait.
On a eu droit au "booom" des infections avec la réouverture des restaurants, on aura droit au "boom" des infections liées à la rentrée scolaire. Le fric et le manque de budget qu'il implique en permanence, est ce qui continuera à foutre la m.... 🙂
la vaccination limite la contamination et la gravité
les gestes barrieres sont toujours fortement recommandes vous ne voyez que ce qui vous interesse ?
il y a piein de gens qui s' affranchissent des gestes barrieres et faut rien leur dire sinon on reçois des insultes
sortez de votre bulle
Sortez de votre bulle à vous, c'est votre propagande à dire "avec le pass sanitaire on est protégé" qui fait que les citoyens n'appliquent plus les gestes barrières. (on ne parlera pas de ceux qui depuis le début ne les appliquent pas parce qu'ils ne "croient pas" à ce virus ! 😀 )
L'injection limite la contamination et la gravité mais n'empêche pas d'en mourir quand même. C'est vous qui ne voyez que ce qui vous intéresse 🙂
Et n'oubliez pas que ce "vaccin" va nécessite une 3ème dose, comme en Israël, puis une 4ème (tous les 6 mois comme disent certains producteurs). Drôle de "vaccin".
les gens vaccines majoritairement appliquent les gestes barrieres
par contre ceux qui ne croient pas au Covid ...beaucoup moins
faudra t'il un autre vaccin comme pour la grippe on verra
les pays comme l'Australie qui n'ont pas assez de vaccins vivent tres mals leurs confinements à repetition et rallonge, maissi ca vous tente
Les gens vaccinés à qui on a fait croire qu'ils n'étaient pas porteur, qu'ils ne pourraient pas contaminer, qu'ils ne pourraient pas tomber malade ou mourir du Covid19, c'est eux qui se croient au dessus du problème.
(ceux qui ne croient pas au covid sont ultra minoritaires)
L'injection n'est pas "un vaccin" au sens donné par Pasteur. C'est un traitement préventif.
Les confinements ne valent que s'ils sont respectés là encore.
Le fait de faire 3 injections rapprochées n'est pas propre à ces vaccins.
On oublie un peu vite ce qu'est le calendrier vaccinal d'un enfant "Calendrier des vaccinationset recommandations vaccinales 2021" que l'on trouve ici :
solidarites-sante.gouv.fr/prevention-en-sante/preserver-sa-sante/vaccination/calendrier-vaccinal
A la page 12 au sujet du vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite il est écrit :
"La vaccination des nourrissons est pratiquée avec un vaccin combiné. La primo vaccination comporte deux injections à l’âge de 2 mois (8 semaines) et 4 mois, suivies d’un rappel à l’âge de 11 mois. Ce schéma ne doit pas être différé."
Si je compte bien il y a 3 injections en 9 mois non ?
Bref moi avec mes 2 doses d'ASTRA ZENECA espacées de 3 mois et une hypothétique 3ème injection au moins 6 mois après la seconde je serai dans le même timing avec des vaccins non ARN.
@Pije : et puis tous les 5 à 6 mois comme le disent certains spécialistes de ce produit ?
Alors que l'OMS préférerait que les doses aillent à ceux qui n'en ont jamais reçu à travers la planète ?
@abo
Pour l'instant on commence juste les 3èmes injections en France.
Pour la suite je pense que personne ne peux raisonnablement être certain de la fréquence de renouvellement faute de retour suffisant tant sur l'évolution de la protection que de l'effet sur des nouveaux variants.
Pour la grippe c'est tous les ans qu'il faut refaire une injection pour s'ajuster aux nouvelles souches (je ne sais pas si dans ce cas on parle de variant).
Ils n'ont pas fini d'emm... tout le monde et de contribuer à la pollution de l'air du fait des lacrymo envoyées pour leur interdire certains accès.
Incompréhensible, un peu comme si on manifestait contre les papiers d'identité sous prétexte qu'on est obligé d'y mettre sa photo .Parmi eux des dures du gadin , on les admet mais hélas des personnes de bonne culture, je leur souhaite de ne pas subir la perte d'un être jeune et cher.
Et toujours mon proverbe corse: on ne peut faire boire un âne qui n'a pas soif.
Deux impactés les CRS qui s'entrainent en situation réelle mais qui en on marre et les fabricants de lacrymo qui eux souhaitent que ça dure.