À l’appel de différents représentants religieux, une marche de la fraternité est organisée dimanche 26 novembre. La marche s’élancera de la Place des Terreaux à 14 heures.
Une nouvelle marche pour la paix va se tenir à Lyon ce week-end. Baptisée "marche de la fraternité", cette mobilisation est organisée par plusieurs associations religieuses, mais aussi engagées dans la lutte contre le racisme. La marche s'élancera de la place des Terreaux ce dimanche 26 novembre à 14 heures.
Préserver la paix sociale
Toutes les personnes, croyantes ou non, sont invitées à y participer. Dans l'appel au rassemblement, soutenu par le Conseil Régional du Culte Musulman, l’Amitié Judéo-Chrétienne, l'Église protestante unie Lyon Terreaux ou encore la mosquée de Saint-Clair, les organisateurs expliquent : "Nous ne sommes pas responsables des conflits qui se jouent à des milliers de kilomètres de chez nous, avant d’ajouter, (...) en revanche, nous sommes responsables de ce qui se passe ici en France. Des fractures dangereuses pour la paix sociale sont en train de se creuser et de se multiplier". C’est pour cette raison que les différents signataires demandent à ne pas laisser se "développer les discours et les actes antisémites, anti-musulmans ou racistes."
Cette marche de la fraternité sera "sans slogan, sans drapeau", et dans l'unique objectif "de marcher tous ensemble" pour "la fraternité universelle." La marche se terminera au Parc de la Tête d’Or, à l'espace Martin-Luther King.
La "paix sociale" est-elle possible dans un monde monétaire qui pousse à la guerre afin d'aller prendre le chiffre d'affaires aux voisins même entre deux marchands de salade sur un marché local avec une "monnaie locale" ?
Notre réponse : non. C'est mathématiquement impossible. Les seuls "moment de paix" chez nous sont ceux lorsqu'on ne voit pas que la guerre est ailleurs. Donc une vaste hypocrisie.
Combien de ces organisations vont dire clairement :
"nous ne voulons plus que la France soit le 2ème exportateur mondial d'armement" ?
Personne. Sauf les postmonétaires qui ont la solution pour que ces "emplois" de l'armement et tous les "avantages de ce commerce" qui disparaîtraient, ne soient plus un problème.
Seulement voilà, pas de débat public sur ces sujets, parce que nous ne vivons pas dans une démocratie mais dans une dictature économique monétaire, avec tout ce que ça implique.