Pendant que quelque centaines de manifestants étaient rassemblés devant la Métropole de Lyon, ce lundi 30 septembre, deux vice-présidentes ont défendu les projets et choix métropolitains.
"N'importe qui dans cette Métropole a le droit d'exprimer son sentiment, son impression, ses préoccupations". Pendant la pause du conseil métropolitain, qui se tient ce lundi 30 septembre, la vice-présidente de la Métropole de Lyon en charge du commerce, Emeline Baume, a réagi à la mobilisation du collectif des Défenseurs de Lyon et du Grand Lyon. Aux côtés de Laurence Boffet, vice-présidente en charge de la participation citoyenne.
Pour rappel, environ 180 personnes selon la préfecture et 500 selon les membres du collectif ont manifesté leur mécontent vis-à-vis des projets de réaménagement urbain menés par la Métropole de Lyon. Et notamment celui de Zone à trafic limité en Presqu'île.
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"L'ensemble des parcs publics restent accessibles. Aujourd'hui, ils ne sont pas pleins, reprenait Laurence Boffet. Ils sont en dehors de la Zone à traffic limité (ZTL). Il y a aussi cette concertation qui permet d'affiner qui seront les ayants-droit. Tout ça reste ouvert, y compris les demandes pour le parking des artisans de façon privilégiée, etc. L'idée est de permettre à ceux qui n'ont pas d'autres choix que de venir en voiture puissent continuer de le faire."
Les commerçants de la Presqu'île, un sujet majeur
Quant à la perte de chiffre d'affaires que pourrait engendrer une baisse de la fréquentation - dénoncée par le collectif mobilisé -, Emeline Baume pense qu'il faut "interpeller notre nouveau gouvernement. Face à la concurrence déloyale de certaines plateformes d'e-commerce, qui impacté le chiffre d'affaires d'une grosse partie des commerçants et commerçantes de la Presqu'île". Et conclut : "Nous, nous travaillions pour garantir l'accessibilité des clientes et clients au commerce."
Les aménagements urbains dans les autres villes du Grand Lyon, pour certains contestés par un ou plusieurs des 27 collectifs mobilisés, doivent être fait selon Laurence Boffet : "La responsabilité du territoire, c'est de l'adapter. Si on ne le fait pas, on va nous le reprocher dans un, deux, trois, cinq ou 10 ans."
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quand on lit les réponses données par ces deux écervelées : lunaire ? n'ayant pas anticipé les conséquences de leurs décisions en termes de restriction de circulation sur les commerces de centre ville la première propose d'interroger le gouvernement sur la concurrence du commerce en ligne HORS SUJET que ce soit en termes de temporalité puisque leurs modifications seront déjà réalisées depuis quelques années le temps d'avoir détruit l'offre commerciale ... sans parler de rejeter la responsabilité sur d'autres des conséquences de leurs décisions ! Quand on sait qu'une des associations soutenant de façon sectaire cette démarche avait par la voix de l'imbécile Pierre Rauzada revendiqué même l'absence de problème de ces conséquences y compris en raison de l'alternative du e commerce et des livraisons on nage en plein délire, aux milieu de contadictions de tous ordres; la deuxième de la même veine on risque de nous reprocher de ne pas avoir agi ... d'une bêtise crasse ... ce que l'on va vous reprocher ce n'est pas de faire, c'est d'avoir fait sans avoir réfléchi aux conséquences, ce qu'on va vous reprocher c'est d'avoir dégrader fortement les commerces de centre ville (un comble, participe de l'attraction touristique de la Ville) ... quand à faire pour éviter qu'on vous reproche, ce ne doit pas être la raison de décisions ineptes ... sinon pendant que vous y êtes faites tout ce qu'on pourrait vous reprocher (ne pas lutter contre l'explosion de la drogue, ne pas lutter contre les incivilités, les rodéos urbains, ne pas lutter contre les incivilités des cyclistes et trottinettes contre les piétons, assez de la boboïsation de l'écologie, des transports en commun qui ne fonctionnent pas, avec des alertes pluriquotidiennes de dysfonctionnement sur toutes les lignes, le tarif à 2€ le plus cher de France etc etc ...). Agir avant de réfléchir le mode de gouvernance sans tenir compte des alertes, des demandes de précisions complémentaires ou d'anticipation faites par des associations, les CIL, un mépris de la démocratie participative, les khmers écolos de la ville et de la Métropole devront être exfiltrés aux prochaines élections ... et réparer leurs imbécilités va nous coûter un pognon de dingue !