Sarah Peillon, la nouvelle référente de La République en Marche dans la métropole de Lyon, est l’invitée de 6 minutes chrono. Elle revient sur les chantiers qui l’attendent à la tête d’une fédération laissée sans responsable pendant plus d’un an et après les divisions Collomb-Kimelfeld.
Nommée en septembre après plus d’un an de vacance du poste de référent départemental de La République en Marche, Sarah Peillon explique que, durant cette période, le mouvement n’est pas resté inerte : “les choses se font qu’il y ait un référent ou pas”. La patronne des marcheurs locaux revient aussi sur les différentes défaites aux élections locales : “La République en Marche s’ancre localement. Les divisions ne nous ont pas aidés à gagner certains, mais nous ne pouvons pas dire que nous sommes qu’une écurie présidentielle”.
L'autre quoi qu'il en coûte
Sarah Peillon revient aussi sur les mesures récemment décrétées par Emmanuel Macron et qui peuvent paraître électoralistes : “on parle de mesures qui vont permettre à des gens d’aller travailler, qui doivent faire des arbitrages à la fin du mois. Nous accompagnons les classes moyennes et populaires. Il y a une urgence sociale”.
En 10 ans, il y a urgence à tous niveaux : sociales, budgétaires, sécuritaires, sanitaires,. etc.
Les variables d'ajustement pour faire des bénéfices, sont :
les coûts salariaux, et mépriser l'impact sur l'environnement.
Cette dame défend le modèle qui nous mène dans le mur.
C'est triste...
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