Nouvelle rencontre Beethoven-Mendelssohn ce dimanche.
Alors que l’enfant chéri des Lyonnais (qui est également la terreur des musiciens de l’orchestre) avait boudé Lyon pendant des années, on remarque qu’Emmanuel Krivine est depuis quelques saisons copieusement invité, seul ou à la tête de sa Chambre philharmonique (l’escadrille romantique sur instruments d’époque dont il est le directeur musical), aussi bien à l’Auditorium que par l’Opéra.
À peine deux mois après un premier concert Beethoven/Mendelssohn, Krivine est déjà de retour pour un grand chelem en compagnie de la Chambre et un programme “jumeau”. Après la 5e Symphonie, c’est la 6e de Ludwig qui y passe tandis que pour Felix c’est machine arrière (4e contre 5e Symphonie la fois dernière). On prend donc presque les mêmes et on recommence..., ce qui finalement est le principe des concerts en classique si on y regarde bien.