Dimanche 12 Septembre à 14h30 le défilé de la quatorzième édition Biennale de la Danse était lancé, intitulé cette année La vie en rose ! Quatre heures de parade, de la Place des Terreaux en remontant la rue de la République jusqu’à la place Bellecour avec un final en apothéose !
Dès le début et avec un soleil au rendez-vous, 400 000 spectateurs étaient attendus pour découvrir un an de travail, 17 groupes de danse, soit 2500 participants encadrés par 250 artistes, et surtout cette satanée vie en rose. Beaucoup de chorégraphes avaient choisi des thématiques résolument optimistes, légères et pleines d’espoir. Parmi les plus connus présents, on pouvait citer Mourad Merzouki, Fred Bendongué, Aurélien Kairo, Riyad Fghani, la Cie A’Corps ou encore la Cie Chatha, avec chacun leur style influencé par le hip-hop, la danse brésilienne, africaine ou contemporaine. Pourtant on le sait, le Défilé ce n’est pas qu’une question de style mais plutôt de capacité à inventer toujours plus et c’est bien ainsi que se révèle l’originalité de chaque création, portée par la rencontre aboutie entre des amateurs fougueux, des professionnels engagés, des musiciens et des plasticiens qui se permettent tous les délires artistiques possibles. La vie en rose était donc sous le signe des utopies, de la résistance, des mélodies du bonheur, l’harmonie, l’enfance retrouvée, l’osmose avec la nature, la fête avec des bulles et des manèges, la poésie et le burlesque, le mélange des cultures dans la ville… Mais le clou du défilé cette année, c’était la fin ! Car elle proposait d’abord une Bateria jouée par 100 enfants percussionnistes amateurs de rythmes brésiliens, et invitait ensuite tous les spectateurs à se joindre aux groupes pour danser La Tarentelle, phrase dansée inventée par nos chorégraphes lyonnais, Abou Lagraa, Mourad Merzouki, Denis Plassard et Annick Charlot. C’est à Bellecour aux alentours de 18h30 que la phrase a été transmise sur place, avec un entraînement de 20 minutes avant que tous les fous joyeux soient définitivement portés par la danse à l’unisson. Un petit accessoire rose emporté avec soi était vivement recommandé !
Le Défilé de la Biennale, La vie en Rose, Dimanche 12 Septembre, à 14h30.
Encore une preuve que les clichés du lyonnais fermé et renfermé sont du fantasme.
Entièrement d'accord avec vous @jm calther.Oui nous pouvons que dire merci à Guy Darmet qui en 1984 créa la première biennale. Ce fut un véritable pari qu'il a emplement gagné. Nous pouvons aussi remercier la ville de Lyon et le Conseil général du Rhône qui sans eux n'aurait pas vu le jour comme on le connait maintenant.Alors oui encore un grand merci Mr. Darmet de nous avoir fait comprendre et apprécier la DANCE pour beaucoup de gens pour la plus part néophyte.
La DANSE pas la DANCE ce n'est pas du Lady Gaga (-:. Il y a aussi la première parade à la fin des années 90 qui donna un côté populaire à la chose
Je me fais chier au défilé. C'est déjà vu , c'est convenu, c'est laid ou très moche, batucada 1, batucada 2, batucada 3 , batucada 4 .... On n'est pas brésiliens, ça s'entend. Ca raconte quoi ? Rien ou pas grand chose: un coup de vie en rose, des réfugiés qui datent de 2009, pour le reste, propos pot la balayette ! On dirait un concours d'élèves de boites de com ou plutôt un Concours de MJC de fin d'année... Est ce la danse qui sonne creux ou une vision de la danse lisse et assurante ('c'est la maf....') celle qu'on voit à longueur de temps à la maison de la danse ? Ca danse dans le vide, ca pédale dans le deni et la superficialité sans humour ni regard sur soie. Bendongué a fait l'effort: ça cherche pas la facilité dans le regard des spectateurs, ça file à bonne vitesse, comme pour dire, on va danser ailleurs, suivez nous !bye bye Mr Darmet; place à l'urgence et à la vivacité pour que les esprits s'élèvent.
moi je me suis bien amusé
oui, continue, l'amusement c'est important.
lumière, jm calther, Grand Lyonnais et autres balchiers, on parle de vous : 'Fonctionnaires de la récupération, rentiers de l’indignation démagogue, pamphlétaires salariés, imprécateurs dans le sens du vent, flagellateurs homologués, mutins en chambre, espions en pantoufles [...] Sous cette couverture 'frondeuse', ils peuvent continuer tranquillement leurs exactions mafieuses. Les bouffons les plus consentants se disent révolutionnaires sans être réfutés.' Philippe Muray
@ Jm : C'est d'autant plus comique qu'un certain Romain B racontait partout que tu étais payé grassement par l'UMP --- Mdr puissance 10, cela donne envie d'aller nager en bord de Rhône 😉
@raoul: l'année prochaine, reste chez toi!