Festivals, salons, spectacles, concerts, expos… La sélection hebdomadaire de Lyon Capitale pour vos sorties du week-end.
Événements
Fête du livre jeunesse de Villeurbanne, sur les traces d’Alice au pays des merveilles, avec le dessinateur-sculpteur-photographe Gilbert Legrand comme guide.
Salon Art3f, de l’art contemporain pour toutes les bourses à la Cité internationale.
Avec les plus jeunes
Pilobolus à la Maison de la danse – Pour ados. La transformation d’une jeune fille au fil de portés très “bodybuildés”.
Ilo, dansé et mimé par une compagnie d’outre-Quiévrain (dimanche à 15h, aperçu vidéo ici). Car cette semaine, au théâtre de Vénissieux, l’heure est à la frite (dimanche après-midi, c’est plutôt la gaufre mais la même lightitude gourmande) avec les “Belges Journées”.
Opéra
C’est le festival annuel de l’Opéra, consacré cette année à Benjamin Britten (on vous en dit plus ici). Ce week-end, vous pouvez vous faire l’intégrale des trois opéras du compositeur anglais programmés à Lyon : vendredi Le Tour d’écrou, samedi Curlew River et dimanche Peter Grimes.
Concert
Boy George, toujours là et même avec un nouvel album (vendredi au Transbordeur).
Théâtre et danse
Karamazov, ou la fièvre de Dostoïevski : la jeune compagnie La Meute, après Les Carnets du sous-sol, a retravaillé son spectacle adapté du roman Les Frères Karamazov donné à L’Élysée en 2012. Nouvelle mise en scène, toujours la fougue (vendredi à 20h30, au centre culturel Charlie-Chaplin – aperçu vidéo ici).
Avant que j’oublie, un dialogue mère-fille déchirant de et avec Vanessa Van Durme, mis en scène par Richard Brunel, le directeur de la Comédie de Valence, que l’on peut voir ce vendredi un peu plus près de Lyon (à 20h30, au théâtre de Vienne – dernière date de la tournée).
Les Fausses Confidences, avec la grande Isabelle Huppert, est encore joué ce week-end aux Célestins. A priori, c’est complet depuis longtemps, mais une liste d’attente est ouverte chaque soir (mieux vaut s’y faire inscrire dès 19h).
Marivaux encore, mais sans star (ou alors celles de demain), à l’Ensatt, où les élèves comédiens encadrés par Richard Brunel (oui, toujours le directeur de la Comédie de Valence) jouent La Dispute (vendredi à 20h).
Enfin Catharsis, un spectacle où musique, danse et langue des signes se conjuguent pour exprimer la douleur du silence.
Expos
PHOTOGRAPHIE
Cultes, exposition sur “les religions dans la ville” au Rize (Villeurbanne).
Et toujours : la Méditerranée et autres voyages (derniers jours) de Bernard Plossu, et l’exposition collective D’une rive à l’autre.
INSTALLATIONS, PEINTURE...
Les motos des auteurs de Quais du polar sont aussi rentrées au garage, mais Motopoétique vrombit toujours au MAC.
“Musiques en scène” (la Biennale qui avait semé des conteneurs partout en ville) c’est fini aussi pour ce qui est des concerts, mais l’installation visuelle et sonore d’Ulf Langheinrich au musée d’Art contemporain est visible jusqu’au 20 avril. Et notre critique Arts plastiques vous en dit le plus grand bien dans le mensuel Lyon Capitale d’avril.
Moins médiatisés et pourtant fascinants, les visages de Vania Comoretti ne seront plus visibles qu’une semaine à la galerie Domi Nostrae.
Et toujours : les Mystères évidents de Clément Montolio à la galerie Françoise Besson.
HISTOIRE
Celle de la révolution par les arts (électro)ménagers dans Vive le confort moderne ! au musée urbain Tony-Garnier (Lyon 8e).
Et celle des expositions universelles ou internationales à Lyon au musée Gadagne.
Ciné
Un Panorama européen à Meyzieu pour découvrir des films de Suède, de Serbie et en voir ou revoir d’autres de pays plus proches de nous.
Dans la programmation régulière des salles lyonnaises, nous vous conseillons (accès à la critique en cliquant sur le film) : Aimer, boire et chanter du regretté Alain Resnais, mais aussi La Cour de Babel de Julie Bertuccelli, Arrête ou je continue avec Emmanuelle Devos, Grand Budapest Hotel de Wes Anderson, Week-ends avec Karin Viard, le magnifique Ida, bien sûr Les Garçons et Guillaume à table si vous ne l’avez pas encore vu, et pourquoi pas... Captain America !
À RÉSERVER – The Goldlandbergs, variations chorégraphiques d’Emanuel Gat sur les compositions de Glenn Gould (16 et 17 avril, à la Maison de la danse)– Non réconciliés, le derby vu par François Bégaudeau (du 16 au 26, aux Célestins)– Tupp’ ou la vente à domicile selon Angélique Clairand (14 et 15 avril, au théâtre Théo-Argence)– Ainsi parlait Zarathoustra de Strauss (le 17, à l’Auditorium)– Un enfant assorti à ma robe de Fabienne Swiatly (du 17 au 19, au Nouveau Théâtre du 8e)– Le concert de Florent Marchet (le 19 au Ninkasi Kao)– Les 2 Passions de Bach (14 et 15, à l’Auditorium et à la chapelle de la Trinité) |