Chorégraphe humaniste qui a mis la question de la dignité de l’homme au cœur de son travail, le Grenoblois François Veyrunes relie avec Au plus près du monde trois danseurs à un écrivain, Antoine Choplin. Texte et danse ont été écrits dans le même temps, creusant des réflexions communes.
Ici, les artistes s’interrogent sur la nécessité d’assumer des principes masculins de vie sans que cela implique l’asservissement ou la négation de la femme. S’appuyant sur des solos, duos ou trios, la pièce pose des individus face à leurs désirs, à leurs différences et à leurs similitudes, les mettant au défi d’inventer de nouvelles relations.
Au plus près du monde, de François Veyrunes. Mardi 25 mars à 20h30, au théâtre Théo-Argence, place Ferdinand-Buisson, Saint-Priest.
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