Danseur qui explore l’intensité du mouvement et les états extrêmes d’émotions, Simon Tanguy évoque dans Japan l’agonie et ses angoisses sur la mort à travers un vocabulaire très physique et poétique. Contraction, relâchement, évanouissement, réveil, chute, mort, résurrection façonnent un univers chorégraphique surréaliste qui jongle dans ce solo avec la composition et l’improvisation.
Japan. Mardi 25 et mercredi 26 mars à , à la Maison de la danse, 8 av. Jean-Mermoz, Lyon 8e.
Dès jeudi, retrouvez tous les choix de la rédaction Culture de Lyon Capitale dans notre mensuel d’avril, en vente en kiosques et dans notre boutique en ligne.