The Goldlandbergs Emanuel Gat
© Emanuel Gat

Emanuel Gat : la face cachée de la danse

Largement célébré lors du dernier festival Montpellier Danse, Emanuel Gat présente cette semaine à Lyon The Goldlandbergs, qui explore, à travers le travail de Glenn Gould, la nature complexe des relations humaines.

La pièce exploite l'essence contrapuntique de la chorégraphie selon le principe de l’art de la fugue cher à Jean-Sébastien Bach. L’objectif étant de générer de nombreux possibles laissant aux interprètes une liberté de ressentir et d’improviser, et au public la liberté de s’inventer une danse intérieure qui peut exister aussi dans les silences.

La bande-son superpose deux partitions distinctes : The Quiet in the Land (le calme du pays), documentaire radiophonique créé par Glenn Gould en 1977, et des extraits des Variations Goldberg de Bach jouées par Gould lui-même.

The Goldlandbergs, d’Emanuel Gat. Mercredi 16 avril à 19h30 et jeudi 17 à 20h30, à la Maison de la danse, 8 av. Jean-Mermoz, Lyon 8e.

Lire aussi : “Variations chorégraphiques”, dans le cahier Culture de Lyon Capitale 732 (avril 2014).

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