Dans leur Haïku, les chorégraphes Virginie Barjonet et Olivier Gabrys vont à la recherche de la simplicité, celle d’un geste, d’un sourire, d’un mouvement, d’une danse, d’un regard.
Fondé sur une recherche poétique, leur travail allie deux univers qui s’opposent mais qui finissent par se rencontrer. Leur danse est ainsi faite de légèreté, d’envols et de moments effrénés et électriques.