Érigé en modèle, le festival Lyon BD n’a toujours pas assuré sa pérennité financière, mais le nouvel adjoint à la culture lyonnais, Loïc Graber, promet des solutions pour 2019.
“Au soir de la fermeture du festival, on sait qu’on aura un déficit de l’ordre de 80 000 euros sur un budget de 350 000 et qu’il va falloir multiplier les partenariats, les interventions dans les entreprises, les spectacles, pour le combler d’ici la fin de l’année.” Le constat de Roland Theisse, vice-président de Lyon BD, est un brin amer, car le festival a beau avoir acquis une reconnaissance nationale, au point d’avoir été choisi aux côtés d’Angoulême pour représenter la BD française à la dernière Foire du livre de Francfort, il continue de s’appuyer sur la même structure de base, avec quatre salariés et une énergie bénévole qui se lasse de ne jamais voir les promesses de financement plus pérenne se concrétiser.Il vous reste 70 % de l'article à lire.
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