Quatre expos à voir à Lyon au mois de juillet

La sélection de Lyon Capitale

Derniers jours pour l'un des événements de juillet qui se déroule à la chapelle Notre-Dame de l’île Barbe où Françoise Souchaud (Art Project) nous invite à une déambulation artistique et imaginaire dans les greniers du palais princier du Guépard, en hommage au film de Visconti (d’après le livre de Giuseppe Tomasi di Lampedusa), tourné avec Claudia Cardinale et Alain Delon, en Sicile dans le château de Donnafugata.

Peintures, sculptures, portraits historiques, capes princières et objets ont été créés par huit artistes qui réenchantent notre présent dans ce lieu magnifique (Le Palais de Tancrède, jusqu’au 9 juillet).

Le musée Jean-Couty consacre une exposition à quarante artistes (dont Jean Couty) ayant participé de 1951 à 1982 au Salon des peintres à Paris qui fut longtemps le plus visité.

On découvre ainsi une centaine de tableaux, aquarelles, pastels, dessins, affiches et lithographies, avec des maîtres de la peinture moderne comme Buffet, Braque, Chagall, Cocteau, Dufy, Léger, Matisse, Picasso… (De Matisse à Chagall. L’aventure des peintres témoins de leur temps, jusqu’au 28 janvier 2024).

Dans son beau lieu d’exposition, Manifesta invite la galerie parisienne Clémentine-de-la-Féronnière, spécialisée en photographie, avec Focus,constituée d’œuvres fortes témoignant de l’approche différente d’artistes : Marco Barbon, James Barnor, Carolle Benitah, FLORE, Martin Parr, Mikiya Takimoto.

Les silhouettes d’icebergs au fort pouvoir pictural de Juliette Agnelouvrent le parcours de l’exposition évoquant l’image d’un seuil, celui d’un royaume oublié (jusqu’au 24 juillet).

Le musée Cinéma et Miniature rend hommage à Drew Struzan, auteur légendaire d’affiches du cinéma (Star Wars, Harry Potter, Indiana Jones, Retour vers le futur…), dévoilant des œuvres exceptionnelles qui ont marqué l’histoire du cinéma, également des croquis originaux comme celui ayant servi à la couverture de l’album History de Michael Jackson (Magnifier la Pop Culture – L’art de Drew Struzan, jusqu’au 31 octobre).