Après Elle brûle et Le Chagrin, deux passionnants spectacles, la compagnie Les Hommes Approximatifs réinvestit le théâtre de la Croix-Rousse avec une nouvelle création, Saigon. Nous avons demandé à la metteuse en scène Caroline Guiela Nguyen de nous en préciser les enjeux.
Caroline Guiela Nguyen © Julien Pebrel Lyon Capitale : Quelle est la nature de votre travail au sein de la compagnie Les Hommes Approximatifs (fondée en 2009) ? Caroline Guiela Nguyen : Il y a une dimension collective, même si nous ne sommes pas un collectif mais une compagnie. L’idée est vraiment de créer ensemble. Chaque personne ayant un outil de création participe à l’ensemble de l’écriture du spectacle. La compagnie regroupe des personnes qui sont à l’extérieur du plateau (créateur son, créateur lumière, scénographe, costumier, dramaturge…) qui, sur chaque projet, invitent des comédiens à créer un spectacle. Quel est le fil rouge de votre dernier spectacle, Saigon, que vous venez jouer au théâtre de la Croix-Rousse ?Il vous reste 74 % de l'article à lire.
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