Jacques Truphémus dans son atelier lyonnais, avec La Belle Servante, en 2013 © Stani Chaine
Jacques Truphémus dans son atelier lyonnais en 2013 © Stani Chaine
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Truphémus : au-delà de la vente aux enchères polémique

181 toiles du peintre lyonnais Jacques Truphémus, mort l’an dernier, seront dispersées aux enchères ce samedi, mises en vente par son neveu et seul héritier. L’occasion de rappeler que cet homme tranquille et discret n’a longtemps pas été considéré par le monde de l’art officiel.

Jacques Truphémus est mort en septembre 2017. Il était un peintre lumineux, simple, discret. Il a vécu toute sa vie à Lyon et ses étés au Vigan, dans les Cévennes. Son neveu et seul héritier vend 181 de ses toiles, de tous formats et de toutes inspirations (paysages, bistrots lyonnais, personnages, intérieurs, natures mortes). Plus de 5 000 visiteurs sont allés les voir à l’hôtel des ventes à l’occasion des récentes Journées du patrimoine.

“Seconde mort” ?

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