La brouille entre l'ancien et le nouveau président de l'OL appartient au passé. Et depuis le club regagne.
La saison de l’OL ressemble de plus en plus à un mauvais soap-opéra américain. Après s’être écharpés pendant des mois, John Textor, nouveau patron du club, et Jean-Michel Aulas, son prédécesseur, se sont rabibochés publiquement. Ils se sont affichés côte à côte en tribunes avant un match (enfin) remporté par l’OL à domicile. Le lendemain, Jean-Michel Aulas a retiré la plainte qu’il avait déposée contre l’homme d’affaires américain à qui il a vendu le club il y a moins d’un an. Entre-temps, John Textor avait accepté de lui racheter pour 14,5 millions d’euros les parts qu’il détenait encore dans OL Groupe. Depuis cet arrangement à la lyonnaise, l’OL va mieux. Le club est enfin sorti de la zone des relégables et reste sur trois victoires de suite. Lors du mercato hivernal, il sera de nouveau autorisé à recruter.
Un autre duel présidentiel
L’argent récupéré par Jean-Michel Aulas pourrait rapidement retourner dans la poche de John Textor. L’ancien président de l’OL s’est positionné pour racheter la salle multifonction qu’OL Groupe vient d’inaugurer à Décines-Charpieu : la LDLC Arena. Un projet que Jean-Michel Aulas avait porté avec Tony Parker, le président de l’Asvel. Les deux hommes sont aujourd’