Dans l'affaire des malversations supposées au sein du comité d'entreprise régional (CE) de la SNCF à Lyon, le tribunal correctionnel rendra sa décision ce jeudi. Huit syndicats, au premier rang desquels la CGT, risquent des peines d'amendes allant de 80 000 à 30 000 euros pour l'Unsa, Sud Rail et la CFTC. 15 000 euros pour la CFDT et FO.
Le plaignant, un ancien salarié du CE de la SNCF Rhône-Alpes, dénonce une vaste organisation de fausses factures, des tracts, de bouteilles d'alcool et de nuits d'hôtel financés avec l'argent du CE par les syndicats.
Lire notre dossier sur le sujet : “La CGT, le pire des patrons ?”
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Mise à jour (16h38) : tous les syndicats condamnés, lire ici.
les syndicats etaient deja des fossoyeurs de l'emploi ils sont en plus escrocs
la CGT se félicite de la fermeture le soir des magasins sephora
« L'argent noir des syndicats », on s'arrange avec ces centres formateurs, qui surfacturent leurs prestations-ou facturent carrément des formations fictives-, et l'on reverse ensuite discrètement aux syndicats une partie des bénéfices indus. » D'anciens responsables de centres de formation évoquent aussi une pratique consistant à remplir des listes de stagiaires avec les noms de personnes qui ne sauront jamais qu'elles ont officiellement participé à ces formations ! « Il arrive a
sur un plateau d’argent. le Gouvernement offre quasiment aux organisations paritaires le marché des complémentaires santé collectives imposées aux millions de salariés du privé. Et suscite l’incompréhension des autres acteurs du dossier, qui dénoncent le “dogmatisme” de l’exécutif. Le gouvernement socialiste voudrait offrir aux syndicats le juteux marché des complémentaires santé collectives qu’il n’agirait pas autrement.
au total, le rapport sur le financement des syndicats qui n'a pas été discuté par l'assemblée nationale ( et interdit d'être publié pendant 30 ans sous peine d'amendes et de prrisons ) dresse, entre les lignes, un rapport consternant de la vie syndicale en France. À base de combines et de faux-semblants. Où l'État participe à un jeu de rôle avec des apparatchiks syndicaux qui ne représentent pas grand-chose. La France compte peu de syndiqués et huit 'grands' syndicats. Qui ne courent pasa
détachements ou emplois fictifs ? La cour des comptes dénonce également la logique de détachements des fonctionnaires au service des syndicats. La plupart des permanents des organisations syndicales ne sont pas payées directement par le syndicat. Elles sont détachées de leur corps d'origine, au titre de la participation à l'administration de leurs syndicats. Ainsi, tel salarié d'une entreprise publique, bénéficie d'une décharge horaire pour ses activités syndicales. Pour certains,
suite et fin la décharge horaire est l'équivalent d'un temps plein. D'un point de vue juridique, on se retrouve alors dans une situation d'emplois fictifs : une administration rémunère un salarié qui travaille à temps dans un syndicat et non dans l'administration en question. Pour l'heure, le pouvoir législatif n'a toujours pas légiféré pour clarifier la situation juridique de ces salariés en détachement.
On apprend aussi que Ia CGT est très riche et qu'elle joue même des millions en bourse ! Les syndicats sont tenus de déclarer leurs comptes quand leurs ressources dépassent une certaine somme , Nous nous sommes tournés vers un commissariat aux comptes pour lui demander de regarder les comptes de la CGT. Cependant, on ne sait pas combien de syndicats il y a dans la CGT, la CGT elle-même ne le sait pas, on pense qu'il y a entre 25 et 30 000 entités
suite et fin sur toutes ces entités, il n'y en a qu'une trentaine qui ont déposé leurs comptes et nous avons découvert qu'ils disposaient de 90 millions de réserves financières dont 41 millions de placements. .. Nous avons trouvé cela assez rigolo de la part de la CGT qü passe son temps à critiquer les capitalistes. Finalement, elle sait très bien gérer son argent ! Ce syndicat fait croire aux Français que le capitalisme est la racine du mal alors qu'il fait exactement le contraire de ce qu'i
La loi est détournée, la démocratie bafouée cours des discussions parlementaires, un amendement a été inséré, ni vu ni connu, dans le texte : il vise tous les délits de l'article III du code pénal. Autrement dit, les dégradations et les destructions matérielles mais, également, tous les délits -financiers : vols, détournements ; abus de confiance, etc. grâce à cet amendement 'miracle', les syndicalistes englués jusqu'au cou dans les affaires de détournements de fonds des Comités
suite et fin d'Entreprises Publiques (SNCF, EDF-GDF, RATP) vont être blanchis... Plusieurs affaires sont en en effet en cours et doivent passer en correctionnelle d'ici à la fin de l'année !