La mairie du village demande toujours la 'remise en état' de la maison, et donc la destruction des œuvres produites par Ehrmann ou à sa demande (plus de 3000 depuis 2004). Ce procès intervient après que la Cour de Cassation a annulé un jugement de la cour d'appel qui condamnait Thierry Ehrmann, patron d'Artprice, à une grosse amende (200 000 euros), mais ne lui imposait pas de remettre en état la Demeure.
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Le Chaos jugé à Grenoble
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