Le principal suspect de l'attaque de Villeurbanne a obtenu l'asile en France en 2018 sous le statut spécifique de la “protection subsidiaire”.
D'après l'AFP, le suspect de l'attaque au couteau qui a fait un mort et huit blessés samedi à Villeurbanne est un Afghan de 33 ans qui avait obtenu l'asile en France en 2018 sous le statut spécifique de la “protection subsidiaire”. Ce dernier aurait partiellement reconnu les faits.
Selon le Procureur de la République de Lyon, Nicolas Jacquet le principal suspect était connu sous deux identités différentes, avec trois dates de naissance déclarées. Il serait âgé de 33, 31 ou 27 ans et serait venu une première fois en France en 2009 alors qu’il était mineur avant de rentrer de nouveau sur le territoire en juin 2016. Il n’est pas connu des services spécialisés au titre de la radicalisation.
D'après l'AFP, la protection subsidiaire dont il bénéficiait est accordée à “toute personne dont la situation ne répond pas à la définition du statut de réfugié, mais pour laquelle il existe des motifs sérieux et avérés de croire qu'elle courrait dans son pays un risque réel de subir une atteinte grave, comme la peine de mort, la torture, ou une menace grave et individuelle contre sa vie en raison d'une situation de conflit armé.”
Qui était Timothy, la victime de l'attaque de Villeurbanne ?
Aucun commentaire de ces bonnes "âmes" qui défendent l'émigrant contre le peuple bien à l'abri , profitant sans doute de leur statut d'ONG.
il est toujours...suspect ?
C'est l'histoire d'un jeune qui vient d'un pays où tous les marchands d'armes et les grandes puissances ont fourni la mort, où les trafics et la production de drogue va ensuite alimenter les pays "riches" qui sont demandeurs, où le tribalisme engendre des guerres aussi incessantes et un nivellement des connaissances par le bas.
Il ne trouve évidemment pas sa place en fuyant son monde de naissance, car ailleurs, il y a des cons aussi.
Il est quand même aidé et suivi psychologiquement mais... avec probablement des théories freudiennes et surement un manque de moyens financiers.
Le résultat de tous ces états de faits qui marchent sur la tête ? Vous l'avez dans cette "actualité".
Sans oublier les victimes qui "passaient juste par là innocemment"...