Dimanche 4 mars, aux alentours de cinq heures du matin, une altercation a dégénéré Cours Charlemagne entre un gérant d’établissement et trois autres personnes. Un coup de feu aurait été tiré en l’air.
Au cours de la nuit de samedi à dimanche, une première dispute aurait éclaté entre le gérant et un de ses clients, lui imposant de quitter son établissement. Ce dernier serait revenu quelques minutes plus tard, accompagné de deux autres personnes.
La violence serait montée crescendo
Selon les premiers éléments, les trois individus auraient jeté une chaise dans la vitrine de l'établissement. Le gérant, se sentant menacé, aurait pointé une arme à feu sur le groupe. Face à lui, l’un des trois individus aurait également sorti une arme avant de tirer en l’air. Cette seconde arme qui était en fait un pistolet d’alarme n’aurait pas occasionné de blessures.
La BAC, alertée par le voisinage, a procédé à l’interpellation des quatre personnes. À l’issue des investigations, l’un des trois individus qui ignorait la présence de l’arme, a été laissé libre.
Présentés au Parquet ce dimanche, les trois mis en cause doivent être jugés en comparution immédiate ce lundi 5 mars.
détenir une arme pour le gérant , j'ose espérer qu'il possède une autorisation, quant à 'l'artiste ' qui à tiré avec un pistolet d'alarme , la loi considère agression avec arme sans faire le distinguo, quelques mois au frais pour méditer lui feront grand bien. Couteaux, sabres, armes à feu, de plus en plus d’excités se baladent armés , Fort heureusement acquisition,détention , transport sont soumis à des règles sévères.